Il y a des arguments factuels et il y a des élucubrations.
l'argument de dire que l'AE est le coupable de toutes les nuisances ça ne passe pas.
Hier, c'était: les utilisateurs de vttae roulent sur les gentils vttisites dans le montées.
Aujourd'hui c'est: les utilisateurs de vttae détruisent les chemins et vont provoquer la fin du vtt.
Répété sans nuances ça en devient des poncifs qui finissent par formater les esprits.
Et voila. Maintenant l'utilisateur de AE est coupable.
Il est prié de subir les critiques sans réagir et de culpabiliser.
Bah si quand même à l'aide d'un vélo.
Et à mon avis c'est juste une question d'objectif.
Pratiquer le VTT n'est pas nécessairement synonyme de dépassement de soi.
Il y a des gens qui font du vélo.
Il y en a d'autres qui en font avec une assistance.
Et il y a des gens très bien et des moins bien dans les deux groupes.
Ca devrait en rester la.
Déjà le titre du sujet est symptomatique d'un parti pris ou le AE sonne comme une menace.
Il contient déjà le ferment de la polémique (victor)
nan Mais faut pas se nerver... je comprends ce que tu dis Roudou, mais c'est ballot, on s'accuse mutuellement de manquer de nuance dans les deux camps .
Perso le côté VTT trop nombreux à cause du VTTAE, je partage moins l'inquiétude. Le nombre fait la force aussi, et c'est le créneau de la MBF, si les choses sont encadrées.
Alors oui, tout le monde ne partage pas le goût de l'effort... mais c'est globalement, que le principe de l'AE me gratouille un peu. Je n'y comprends rien, mais j'ai le sentiment diffus, sans essayer d'analyser le truc, que si on admet que le monde ne va pas bien et qu'il y a un espoir de faire bouger quelque chose avec des consommateurs qui prennent conscience qu'ils peuvent exercer une pression dans le bon sens, il faudra accepter de faire un effort. Et j'ai l'impression qu'aujourd'hui tout va dans le sens du moindre effort. Donc faire la promotion, ou défendre sans nuance, l'assistance motorisée dans un sport, qui plus est en compétition, me semble un message pas terrible...
Ce que je vois de l’evolution du VTT au Canada qui ont 20 ans d’avance sur nous.
Au debut la bas, le VTT c’etait le truc underground avec les gars qui creusaient leurs sentiers.
Puis y a eu la phase de democratisation avec les conflits et les land manager qui voyaient pas ca d’un bon oeil avec des interdictions qui ont fleuris.
Au final maintenant, le VTT represente bcp de monde (masse critique), represente un potentiel touristique et commercial. Au final maintenant on est passé d’interdiction a un investissement massif des collectivites pour developper le reseau de sentiers.
Je vois autour de chez moi, le vélo est maintenant vu par pas mal d’elus comme un truc a developper pour attirer du monde sur le territoire alors que 10 ans en arrire, tout le monde s’en foutait du vélo.
Quand tu vois la station des Orres, 70% de taux de remplissage pendant l’été en grande partie grace au bike park, bah du coup ca pousse fort la bas dans le developpement du vélo.
Je suis pas pessimiste, plus on sera nombreux, plus il sera difficile pour les autorités de nous ignorer.
interessant cet article et la discussion qui avance sur l’autre forum… aux US ils ont d’abord interdit les VAE sur les pistes et chemins cyclables, et progressivement ils les autorisent par endroits a conditions d’être a pédalage uniquement et limité en puissance, avec un espoir de voir plus de pistes au total ouvert aux cyclistes aussi.
le problème c’est que (peut-être par manque de législation comme en Europe) il y a beaucoup de VAE plus puissants et avec pédalage optionnel (i.e. des mini-motos électriques) et donc la confusion avec les restrictions des motos. en France (et en Europe) la limite des VAE a pédalage avec moteur max 250W et limite 25kmh a l’air de bien tenir, donc pas de confusion, ce sont bien des vélos, et au final pas de restrictions pour leur circulation. encore une fois, la réglementation bien gérée créer une liberté appréciable et exemplaire en France par rapport aux US.
Franquin était un fan de technologie.
Grand lecteur de science & vie il y puisait une bonne part de l’inspiration qui lui a donné l’idée de plein de machines improbables. Je parie que si on fouille les archives de S&V de 1974, on risque bien d’y trouver un article parlant de motorisation de vélos.
Je l’ai pris chez ozo électric. J’ai pris le moteur roue arrière 250w 35km/h avec une batterie 400Wh (1h30 a pleine puissance) .
Si j’ai pris le modèle c’est par rapport à mon trajet de velotaf complet à plat. Fallait pas un truc qui coupe à 25 et que ça puisse rouler moteur éteint.
Par contre je voulais rester dans les 250w en estimant que ça devrait suffit .
J’ai longtemps pensé au bafang , plus polyvalent. Mais c’était beaucoup plus cher .
Les Impressions
grimpe mieux que je m’attendais. Je ne l’avais pas pris pour ça mais c’est pas plus mal .
le capteur de cadence de pédalage, moi qui mouline je trouve que c’est plus agréable que le capteur de couple... sauf au démarrage quand je me suis arrêté tout à droite
Au niveau transmission, jai un peu du mal. Au démarrage, le moteur est coupé donc il faut partir sur des rapports courts, et une fois qu’il se lance (1/4de tour max ), on peut remettre la plaque .
J’ai pas voulu prendre l’accélérateur, car je ne voulais pas d’une mobylette, je comprends à quoi ça sert.
Du coup je trouve que je change beaucoup de vitesses (sur la transmission)
Ah oui à l’achat j’ai pas fait gaffe j’ai pris une roue avec roue libre à visser.
Ja croyais que j’aurais un corps de roue libre à visser sur le moyeu.
J’ai appelé le vendeur « il est où le corps de roue libre ? »
Bon du coup j’ai dû acheter une cassette avec roue libre intégrée à visser sur le moyeu. (Je ne savais même pas que ça existait)
Mais il y avait bien un modèle de roue avec un corps de roue libre, j’ai juste pas compris le terme « roue libre à visser »
Peu importe, il fallait que je change mes pignons ils étaient morts .
