On ne m'a jamais volé que cinq vélos.
Et encore maintenant quand je propose à Axelle de prendre nos vélos pour aller quelque part elle renacle de peur de se le faire voler en dépit des 2 cadenas et de l'assurance contre le vol.
C'est un sujet récurent dans les associations cyclistes.
Ma fille Noémie n'a pas le permis. C'est ainsi que je lui ai fait découvrir le vélo.
Maintenant elle organise ses déplacements en combinant vélo et transports en commun. Ca fonctionne et elle le vit bien.
Mais il faut bien concéder qu'elle est très loin de la souplesse que permet le voiture individuelle. Un déplacement doit être organisé et ne se fait pas sur un coup de tête comme on le fait avec une auto.
Mon autre fille a passé le permis. Mais dans son couple ils ont organisé leurs professions respectives pour n'utiliser qu'un seul véhicule et circuler en vélo chaque fois que le déplacement s'y prête.
Elles agissent avec une démarche bien plus approfondie que la mienne pour limiter leur empreinte écologique. Ce qui va dans le sens générationnel de l'argumentation de Carquo.
Pour moi, le mot clé est "propagande".
S'ils sont cons c'est parce qu'on leur dit de l'être.
Si on leur vendait une autre soupe ça pourrait être différent.
Ils seraient probablement toujours aussi cons, mais au moins se seraient des cons écolos.
Ce serait moins pire. 
Changer une habitude ça demande un effort conscient pendant environ 20 jours.
Ensuite le comportement a toutes les chances de devenir naturel.
Et un comportement habituel n'est plus considéré comme une contrainte.
Il y a plein de techniques qui permettent d'atteindre ce genre d'objectif.
Et c'est ainsi qu'il est possible de modifier ses comportements tout en ayant le sentiment de conserver, voir d'améliorer sa qualité de vie.
Bah, la réponse est simple. On a besoin des deux.
Ha, si tu veux sauver le monde, c'est sûr que jouer au colibri ne sera pas suffisant.
Pour ma part j'ai plusieurs fois été étonné de constater que des personnes de mon entourage s’inspiraient de mon expérience. Et inversement.
Ce n'est pas souvent que cela se produit, mais ce n'est pas anecdotique non plus.
Et je me rends compte que cette manière de procéder produit plus de résultats que n'importe quelle grande phrase dite ou écrite.
Je comprends l'idée, mais cela me semble une erreur grossière de la part du commerçant de procéder la sorte. Les commerces de vrac que je fréquente proposent pour la plupart des emballages. Souvent réutilisables. Parfois même consignés. Cela fait partie intégrante du projet. Parce que ce serait trop bête de perdre un client avant même qu'il n'en devienne un pour cette bête raison comme l'exemple de Carquo en témoigne.