Encore que dans ce cas, les mecs ne pensent pas forcément qu'une planche cloutée aura des conséquences mortelles, par rapport à un fil de fer en travers par exemple.
Un coup de pas de bol que le mec se prenne un arbre après, ca m'est déjà arrivé sur une racine aussi.
Quand on roule seul il faut vraiment éviter de descendre en mode chrono, ramper avec des pertes de connaissance avec un foie HS pour trouver du réseau, ca fait peur.
Il y a qqs allumés côté alsacien ... samedi côté vosgien on a des "bonjour" de la part des randonneurs (plus que des DHeurs qu'on a croisé d'ailleurs).
Il devait aller sacrement vite pour se faire une blessure pareille sur une crevaison de l'avant.
J'espere que ce type d'accident va faire bouger les choses.
Au moins ça bouge un peu dans la bon sens, et l'article est lisible sans abonnement 
Je suis allé voir le site de SOS massif vosgien et leur pétition. Je leur ai fait un mail et les ai invités à venir nous lire.
Sérieux : ça ne sent vraiment pas bon ces gens qui ne connaissent pas les autres, les caricaturent et veulent interdire, rejeter les autres.
Souvent je ne suis pas fier d'être humain.
Ici aussi beaucoup de gens qui comprennent tout et n'importe quoi.
Je trouve l'idée d'un trail center à l'anglaise intéressant, ca limiterait les pistes officieuses je pense.
Mais entre ceux qui veulent du calme et ceux qui trouvent qu'il y a trop de VAE sur les sentiers, et de luges d'été dans les Vosges, ca bloque tout.
https://c.dna.fr/sport/2021/09/25/riches-debats-autour-du-trail-center
Tout l'article en mp pour les intéressés.
Sinon:
Ils ont l'air vraiment a la masse la haut...
Les VTT sur les sentiers, on en veut pas car c'est dangeureux et ca detruit.
On veut faire un trail center dedié aux VTT, on en veux pas car ca va detruire....
Ils sont vraiment a la ramasse...
Quand compter que 1000 VTTs par jour, ils y seront jamais, c'est enorme comme chiffre.
Oui c'est ce que dit aussi l'article des DNA après la réunion à la mairie de vendredi soir.
Clarification sur les chiffres
L’un des intervenants s’est inquiété de la possible présence de 1 000 personnes par jour sur le site. Si le chiffre figure en effet sur le document administratif, il s’agit, a expliqué le maire et président de la com’com Daniel Acker, d’une jauge équivalent au triple de la fréquentation estimée par le business plan, à savoir 300 personnes maximum par jour. Pour la com’com, il s’agissait de préciser aux autorités que dans le pire des cas, le site n’accueillerait jamais le seuil de 1 500 personnes au-delà duquel le projet aurait nécessité une étude environnementale. Le Trail center n’offrira d’ailleurs que 150 vélos à la location.
Autre clarification : « Il n’est pas question de déboiser trois hectares et demi », a rassuré le maire. Il s’agit de la surface sur laquelle seront tracées les nouvelles pistes avec l’ONF en partant de pistes préexistantes « et chaque fois que l’on pourra contourner un arbre, on le fera ».
Le VTT électrique
La pratique du VTT est en pleine révolution, avec le développement à la vitesse grand V des vélos à assistance électrique. Cela amène en forêt un public nouveau et pour partie inexpérimenté, créant même des conflits d’usage avec les « vététistes musculaires ». L’une des questions en filigrane du débat de vendredi concernait le rôle du trail center dans ce mouvement.
Pour ses défenseurs, le lieu permettra de former, d’informer, de sensibiliser les pratiquants (musculaires ou électriques) en les canalisant vers des pistes dédiées. Le projet prévoit ainsi de déclassifier tous les chemins situés dans la partie sommitale du Schneeberg (classée Natura 2 000) pour concentrer les pistes plus bas autour du Trail center.
Le centre n’entend pas accompagner la vague montante du vélo électrique. Il ne mettra de son côté que cinq vélos électriques à disposition sur les 150 proposés. « Devant la pression, vous ne tiendrez pas un an » avant d’augmenter ce quota, a lancé un participant au maire, qui a tenté de le convaincre du contraire. Au regard de l’évolution de la pratique, la remarque était pour le moins pertinente.
Après niveau fréquentation, ce n'est pas comparable avec le Sud.
Les Vosges c'est les seules montagnes plus ou moins proches pour beaucoup de monde.
Si le bikepark du Lac Blanc a 3 crochets vélo par télésiège ce n'est pas pour rien.
tous les weekends tu as des parisiens, belges, luxembourgeois et allemands.
Les mois de mai c'est encore pire quand c'est encore fermé dans les Alpes.
Ouaip, m'enfin leur parc à vtt, perso, je n'en veux pas, (ou alors on parque aussi les randonneurs), ce genre de projet ça me fait l'effet d'un CenterParks pour le VTT. Très peu pour moi.
Ca dépend de ta pratique.
En ce moment, pour une grosse proportion de pratiquants, faire du vtt sur des sentiers de randos n'est pas assez fun, il faut des sauts et des virages relevés.
Quand je vois ce qui a été construit sur le Mont St Odile ces dernières années, je pense qu'il vaudrait mieux canaliser certains sur des pistes artificielles officielles.
Les pistes de Bussang ca n'a plus rien à voir avec les sentiers techiques en épingles que l'on connaissait, c'est des ppd.
Faut dire que ce qu'on nous montre du VTT n'est que ça. Où est la vision bucolique du VTT dans les pubs ou les magazines ? Idem pour la vision effort.
Bien d'accord avec Carbone, la façon dont le sport se développe ne correspond pas à ma pratique non plus. Ici par contre le pattern de création des centres est généralement différent. Je n'ai jamais entendu parlé d'un projet de centre à naître à partir de zéro. La plupart du temps ça commence par des volontaires qui travaillent des traces existantes de façon improvisée. Puis s'ils arrivent à avoir une entente avec le propriétaire du terrain, ça se développe. Des fois ils vont chercher une subvention d'un magasin de sport. Les sauts et virages relevés se multiplient. Éventuellement le mot se passe, et il y a trop de voitures à stationner pour l'espace disponible. Rendu à ce point quelqu'un se dit qu'il y a de l'argent à faire et se met à charger un droit d'accès.
Et moi qui roulait sur le sentier avant qu'il ne soit aménagé, il y a une période de temps pendant laquelle je contourne les sauts, puis éventuellement je n'y ai plus accès à moins de payer.
Je me rends compte que même si on a un territoire vaste, il est extrêmement fractionné. En France j'arrivais plus facilement à me créer de grandes boucles à la carte. Ici il y à moins d'options de chemins déjà, mais en plus tout est privatisé. Et ceux qui pratiquent mon sport amplifient ce problème en reproduisant le même modèle.
Bah peut-être que le fait que la pratique bucolique du VTT n'est plus à la mode, c'est ce qui va sauver cette pratique. Ce qui est dans les magazines va finir par se trouver parqué, pour une grande partie de pratiquants. Pour le reste, on fera comme avant, pratique plus confidentielle, pas forcément autorisée mais tolérée car pas de sur-fréquentation. Entre les deux, y'a des solutions, mais ça nécessite d'être tous raisonnables et tolérants, ce qui n'est pas le plus simple...
La mode est aussi créée par les magazines, financés par la pub en partie.
Sans tout ce battage, ce serait certainement un poil plus rando.
Non on te dira : les vtt c’est à Disneyland , ici c’est piéton et tu dégages .
Et mon argument sur le fait que le piéton a fait 50km en voiture avant d’arriver sur site ne tiendra pas, car les routes c’est fait pour les voitures et pas les vélos (ils ont la piste cyclable pour ça )
Donc je suis contre ces centres vtt, car ça contribue à morceler le terrain, au lieu de maintenir des sentiers partagés qui profitent à tout le monde
Qui lit encore les magazines de nos jours ?
C'est pas de la faute de VTTMag si Redbull fait de l'Instagram et Youtube...
En fait les magazines font des hors série gravel, mais ca vous fait râler aussi 
Forcément , les pratiquants de gravel ont l’âge de lire des magazines (ou l’inverse) 
Pile poil pareil : il y a bien assez de sentiers pour être capables de les partager plutôt que de parquer les gens par pratique, mais pour ça il faut apprendre à respecter l'autre
Le probleme c'est plus que les sentiers existants ne correspondent pas forcement à une pratique donnée (exemple: enduro).