Retour de grosse rando, une Paolina blonde au miel de Corse. On sent bien le miel mais c’est trop sucré à mon goût
Petit flashback sur la bière a @Brup, brasserie irvoy grenobloise et ben c'était une stout que j'ai goûté au pumptrack l'autre soir au yautenet en ayant rien dans le ventre, a la bouteille ( sacrilège ) ..
Bon j'ai aucune photo pour accompagner le truc mais, niveau bières noires comme ça je suis super difficile. Ca passe ou pas !
Et la .. Woah !
Je suis dans une période à tester des cafés différents, donc mon palais apprécie ce genre de choses et est assez exigeant, mais la c'était fou
Une intensité de café dingue et comme un genre de vanille en fin de bouche, elle est folle je vous dis !
Et après il m'a laissé ( de la même brasserie ), une blonde. L'ardenne
Moins enthousiaste en bouche mais y a du niveau quand même !
Je la met au même rang que la célèbre et géniale gangloff blonde ( et c'est pas rien ! ).
Biere bio idem, bien houblonnée comme je les aime
Merci brup !
Mais du coup je saurai pas en trouver sur Besançon
A moins que je négocie ca avec les copains cavistes
Pas de photo de la stout (perso c’est pas mon genre de bière, même si j’ai été agréablement surpris en la goûtant l’autre jour )
Par contre la dans mon frigo j’ai une apa de la même maison , pas mauvaise du tout, plus équilibrée que certaines ipa.
Je prends une photo de bière le matin c’est pas bon ça
Il ont aussi une Weissbier. J’ai pas du la goûter
Ils en ont 3 autres (6): une bière au miel, avec des parfums de miel de châtaignier , mais un peu trop sucrée à mon goût.
Et puis pour les 2 aurtres je ne sais plus
L Ardenne, si on parle de la même, j’avais vraiment aimé.
Édit : je viens de vérifier, c’est pas le même, moi c était la Rouge Ardenne
Un hôtel à bière
Sont malins les gars de BrewDog …
Dégustée lors d'un séjour bourguignon, cette Paille ambrée locale. Si elle manquait un poil de corp, j'ai toutefois bien aimé l'équilibre et le gout des céréales utilisées. On peut la commander sans arriére pensée avant d'attaquer une bonne entrecote charolaise
Petite pause le lendemain dans un lieu sympa et un poil branchouille, j'ai redécouvert cette Croix Perdue, une triple de la brasserie Sornin du coté de Roanne. Si elle n'atteind pas les meilleurs standards Belges, elle n'a pas à rougir et elle est franchement agréable et parfaite en entame apéritive d'un repas. Je valide
Tssst la viande c'est mal pour la planète, à la bière te limiter tu dois.
La Old Rasputin de North Coast Brewing qu’on m’a servi ce soir était simplement incroyable… Peut-être que c’est juste les km de vélo dans le corps, ou peut-être que c’est la meilleure stout au monde…
Par mes collègues les 2 Nicos, la hop sweet hop, une IPA aux fruits e la passion. Au nez le fruit de la passion est la, au goût ça claque dans le dur on n'est pas sur une bière de fillettes...
[edit] : il y a des brettes parmi les levures, ça doit participer au côté sauvage du résultat.
La dernière bouteille de la « triple » brassée en mars.
Après 6 mois de garde elle est tout simplement sublime.
Elle rappelle la « Carolus ». Bien chargée en alcool et toute en rondeur avec juste l’amertume qu’il faut pour que les autres saveurs s’expriment.
Une bière qui donne bien envie de réaliser une véritable « Barley wine ».
Et comme la cave se vide et que les libations de fin d’année ne sont plus si loin, il est temps de s’y remettre.
Avec un « triple », une « Stout » et un « Blanche » histoire de ratisser large.
Comment est-ce que ça se travaille une Barley Wine ?
Waaaoouuuh ! Félicitations ! Ca représente quels volumes ?
Fab'
Une Barley Wine est une bière qui titre 11 à 12° prévue pour subir une garde de plusieurs années. Ca c'est la caractéristique de base qui peut être interprétée de bien de manières par le brasseur. La garde peut se faire en bouteille, ou en fût de chêne comme on le voit depuis quelques années. Généralement des fût recyclés qui ont déjà servis au vieillissement de vins prestigieux ou des alcool forts.
La triple ouverte plus haut pourrait être qualifiée de Barley Wine. J'ai mal évalué certaines étapes du brassage (évaporation lors de la cuisson, absorption d'eau par les drèches) et je me suis retrouvé avec 13 litres de mou au lieu de 21 au moment de mettre en fermentation. Les matières étaient calculées pour 20 litres et un taux d'alcool de 8%. Je me suis retrouvé avec une densité de 1100. Ce qui présageait un taux de 11° après fermentation avec un levure T-58 prévue pour des triples. Et c'est ce que j'ai eu.
Pour une Barley Wine j'imagine travailler sur le choix de malts (biscuit, caramel), être un brin plus généreux en épices, peut-être des copeaux de chêne à la mise en bouteille, choisir un ferment différent du traditionnel t-58. Et puis surtout être très patient vu que la durée de la garde sera nécessairement très longue avant d'avoir un breuvage qui exprimera tout son potentiel.
Ce n'est pas énorme. Il y a environ 19 litres dans chaque réservoir.
Je suis limité par la taille de mes cuves de brassage.
Et déjà la, je triche un peu en ajoutant de l'eau au moment de la mise en fermentation.
C'est assez pratique, car cela permet de corriger la densité pour coller aux valeurs présagées.
Tu fais fermenter dans quelle pièce chez toi pour avoir 18° à peu près constants ?
Pour le moment dans la pièce la moins froide de la maison (celle ou il y a le poele qui chauffe deux ou trois heures par jour pour le moment). Mais c’est vrai que je ne suis pas dans les conditions qu’il faut pour bien maîtriser cette étape. Je devrais avoir une triple à 24°c, la stout à 20°c et la blanche à 22°c. Je leur met une couverture et ça passera comme ça.
J’ai récupéré un congélo fonctionnel. Et l’année prochaine, si je persiste, je le bricolerai pour avoir une enceinte dont je pourrai mieux contrôler la température.
Pour ça j’ai un petit thermostat qui vaut trois fois rien et sait piloter un moteur de frigo et une résistance.
Un truc comme ceci ?
C’est à un appareil du genre que je songe.
Mais j’ai un problème bête de place. Le congélo est dans un local qui n’est pas électrifié. Et je n’ai pas de place ailleurs.
Non un truc comme ça : j’ai mis ça (enfin une version qui ne gère que le froid) sur mon frigo à bières dont le thermostat était mort.
Ok. Le bricolage piloté par l’appareil que j’ai mentionné plus haut contrôle deux lignes d’énergie. L’une vouée au chaud, l’autre au froid. La sonde de température décide quelle ligne activer pour atteindre la température voulue. On branche le congélo sur la ligne froide, et une plaque chauffante que l’on place dans le congélo sur l’autre. On programme le bidule et c’est parti. La programmation permet de gérer d’un coup la fermentation primaire et la secondaire.
Pour ma part je me contenterai cette fois encore de descendre mes cuves à la cave pour la fermentation secondaire.
Oui c'est aussi ce que sait faire le thermostat que je t'ai passé. Ah, j'ai oublié de te dire : je l'ai trouvé sur un forum de brasseurs ....
Avantage : qu'il fasse 35° ou -5 dans la pièce de ton enceinte de fermentation, tu t'en tapes.