Je continue.
Ce matin j’ouvre l’oeil un peu avant 6h. J’ai plutot bien dormi.
Bon d’habitude je me sers d’une polaire comme oreiller. Cette fois la polaire, je ne l’ai pas quittée, bah oui j’avais le duvet +6. Du coup je me suis servi de mon sac à dos comme oreiller, c’est moins confortable.
Je sors de la tente, le tarp est trempé, c’est quoi cette condensation ? L’air est humide, mais la bonne nouvelle c’est qu’il n’y a plus de vent.
Je prends une boisson chaude pour me réchauffer (il fait +8, mais j’ai l’impression qu’il fait 0 tellement c’est humide) . Je démonte le campement, je m’aperçois alors que j’étais à 2m d’un marécage !
Je comprends pourquoi l’herbe était si grasse.
Une fois le campement plié, je pars en direction du sommet. Au bout de 2 minutes, je tombe sur un énorme troupeau de mouflons.
Je vois aussi un rapace qui fait du stationnaire (fait ch… ces drones! )
Le single est sympathique. C’est meme le plus beau du coin, dommage que ça soit si terrible pour y arriver
Le départ de cette descente, c’est comme ça:
Encore des mouflons, cette fois les mâles:
La vue n’est pas dégueux (Belledonne derrière le col de la Grande Vache)
Le Vercors:
Le sommet:
Allez une dernière:
et puis une autre, avec le sommet à gauche:
Je retrouve mon vélo, cette fois je me débrouille beaucoup mieux pour le chargement.
Je descends de l’autre côté du col, côté Grenoble, car la route est en meilleur état (la gravel ça va bien à la montée, mais pas en descente)
La descente se passe bien, le vélo est bien équilibré. Et puis il me reste assez de batterie pour faire 15km de voie verte face au vent.
Ca suffit en fait 400W/h.
Juste avant d’arrive à la maison, j’étais là haut
En tout cas c’est bien le VAE, tu prends une vielle bouse, tu mets un moteur et t’avance au moins aussi vite sur route qu’avec un vélo à 5000EUR.
La prochaine fois faudra que je fasse du VTT packing.