Alors ça roule?

Je poursuis mon mois de vacances en me promenant du côté du Vaucluse actuellement.
Aujourd'hui le défi était de monter au ventoux par bedoin via la DFCI des graviers blancs ( @hpman83 j'ai bien pensé à toi :wink:). Pfiouuuuu c'était un peu longuet, que je n'aime pas ces pistes. N'empêche qu'elle était régulière et qu'elle m'a permis de faire 20 bornes et 1500d+ d'une traite, et quatre bornes de route pour arriver au sommet (et 250 d+. )Ces derniers kms sur la route étaient bien usants, surtout avec mon pneu en 2,80 à l'arrière, j'étais littéralement scotchée au bitume.

J'arrive au final. Pas mal de cyclistes, je fais figure d'OVNI avec mon VTT :grin:. Et encore plus quand j'enfile mes protects​:rofl:.


Arrivé la descente, je suis le parcours enduro rouge numéro 5 et c'est parti dans de la bonne caillasse pendant quelques kms puis je me retrouve en sous bois, c'est plutôt roulant...limite un peu trop.
La fin est beaucoup plus sympa avec toboggans et virages relevés. Sympa.
Au final une belle sortie, 47 kms et 1700 d+ mais je m'attendais à une descente plus fun. Je crois que les parcours de @Carquo me rendent exigeante maintenant :grin:

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C'est LA sortie que j'avais sur ma liste et que je n'ai pas réussi à mettre au programme avant de quitter la région. :cry:

Après c'est vrai que les parcours de Randonet concoctés avec amour sont toujours bien meilleurs que ce genre de "grand classique".

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À défaut de pouvoir rouler, j'ai au moins pu installer la nouvelle selle qui vient d'être livrée.

J'ai fait 3-4 tours devant la maison et ça semble très beaucoup plus confortable que ma vieille SDG Bel-Air 2. Bien hâte de pouvoir l'essayer.

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Yo les amis !

Ce matin… enfin… disons, en fin de matinée, je suis allé rouler dans les Monts du Lyonnais, vers l’ouest. Il fait déjà chaud lorsque je sors dehors. Saloperie de montée du Gourguillon qui me tue les pattes et le souffle à chaque fois. Grosse suée. Je m’extirpe de Lyon et je prends la paisible vallée de l’Yzeron. Surprise : je croise un vetetiste sur un Spé Carbon TS. Ca court pas les rues les VTT musculaires par ici. Bref. Je continue et… je tombe sur un troupeau de gravel ! Ils sont au moins 15 !! Dingue. Je continue sur une voie de chemin de fer carrossé et je remonte un chemin fuyant, droit dans la pente, direction Vaugneray. Je suis au bout de ma life quand… je croise un gravel qui attaque en descente ! Je passe au dessus du monastère, et me voilà en train de grimper sous le cagnard pour rejoindre St Bonnet le Froid. Je suis à l’agonie, j’ai chaud, c’est blindé de cailloux, de sable, je me bats pour grimper à la vitesse de l’escargot. Arrive un petit bosquet boisé, je bois, je m’arrête, je bois, je m’étire, je bois, je sue à grosses gouttes, je bois. Je suis au bout de mes forces :frowning: Je prends une gentille allée boisée très cool avant de redescendre par la route et d’abréger ma sortie. La dite gentille allée boisée :

Je suis rentré par la route, au plus court, un abruti avec son van trop préoccupé sur ton téléphone a failli m’écraser, j’ai bondi dans le fossé, c’est passé près :scream: :dizzy_face:
Bref, j’ai vu 1 VTT (musculaire, j’en avais pas vu depuis des lustres) et un troupeau de gravel (dans le style Bike Café, qui roulent en chemise à carreaux comme @vicporc :wink: )… Les gars (y’avait 2 meufs) ont du mérite : les monts du lyonnais en gravel, ça doit pas être sympa partout… :thinking:

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C'est confusant. Et c'était pas plus frais une fois arrivé?

Tu sens des séquelles de ta covid 19 ?

ET bé t'avais l'air d'en chier dis ! ça se voit d'ailleurs ton vélo t'as mis 5 mètres dans la vue et t'attends dans la montée :slight_smile:

De mon côté, samedi soir, grosse fête, couché à 2h bourré comme ça fait des années que ça ne m'était pas arrivé, je titubais sévère. Mais j'avais donné RDV à Eric pour rouler le lendemain matin à 8h30 ... donc fallait assumer.

Au réveil, je ne suis clairement pas débourré, mais bon, y'aura pas de contrôle alcotest au bord des sentiers et si ça ne va pas, je ferai demi-tour.

Le début fût très difficile, les jambes qui brûlent, la tête pas claire, le jugement des trajectoires clairement entamé. Eric en a bien profité pour me mettre des vents dans les montées. Puis au fil des kms, je sentais que j'évacuais l'alcool et que ça allait de mieux en mieux. Après 20 kms, j'ai commencé à me sentir un poil euphorique, et à partir de 30, Eric ne me suivait plus en montées, je devais l'attendre au sommet des bosses.
On est rentrés avec 40 bornes, j'étais frais :smiley:

Vive le vélo !

(bon l'après-midi j'ai fait une grosse sieste et ce matin c'est dur dur ...)

Sinon la forêt est sèche comme en plein été, pas une trace de flotte pour les animaux, l'herbe est crevée comme en aout sous les arbres. Rien à voir avec la verdure de la semaine dernière en Auvergne.

J'avais oublié de vous passer qqs photos
(si qqun connait le nom de ces fleurs, je suis preneur, c'était merveilleux cet endroit)
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Lac du Montcineyre
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Les plateaux au dessus de la Bourboule, des champs de jonquilles
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Lac de Guery
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ça nous a clairement donné envie de se faire la GTMC

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Depuis le temps que je le dis :smiley:

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Heuu au vu des photos, on a pas la meme defnition d'hebre crevée par la secheresse. C'est tout vert sur tes photos.

Pareil ici, ça fait de la peine :frowning:

Ah lala, comment c'est beau :star_struck: Tu nous organises un RandoNet là-bas ? :hugs:

Je ne pense pas... J'ai l'impression que je récupère moins vite mais ma capacité respiratoire me semble revenu. Après, cette histoire de récupération, c'est pas simple à lier au Covid : est-ce réellement le cas, est-ce dû à la chaleur qui s'est abattue à Lyon (et ailleurs), est-ce dû à des coups de bourre au taf ? Je ne suis pas très fort pour faire le lien entre des symptômes et un état de santé, tellement je trouve qu'il y a toujours x raisons pour lesquelles je peux être naze (manque de sommeil, fatigue intellectuelle, charge de taf, etc.)

ça c'est les photos d'Auvergne. C'est ici que c'est tout sec.

Et encore je n'ai mis que ce qu'on a fait en VTT. Mais à pied, on a fait des trucs encore plus chouettes (mais qui auraient été très Brupiens dans le style).

Pour l'anecdote : la maison est vraiment "pieds dans l'eau" comme on dit sur les plaquettes publicitaires ... là d'environ 15 cms :crazy_face:

Pour un randonet, j'y ai pensé. Le massif du Sancy c'est magnifique. Par contre, faudrait retourner faire des repérages. Là, on a utilisé les parcours de l'OT du massif, très bien balisés ... mais pas aux standards d'exigence de VTTnet en terme de pourcentage de singles.

Les photos au dessus de la Bourboule, on a quitté la trace et on a improvisé à la carte ... y'a du potentiel pour faire plus chouette que ce qu'ils ont tracé.

Samedi c'etait petite journée de DH a la Mouliere. Bon faisait chaud, le chien avait chaud aussi. Et en me ratant sur un passage, je tape la pedale sur un rocher et paf, un bout de la pedale One Up composite de cassé. Evidement, c'etait des pedales neuves, juste la seconde sortie avec :frowning: On ne casse jamais les vieilles pedales evidement. Bon, au final Mouliere + pedales composites = pas bon menage, je remonte du coup mes vieilles pedales en alu.
La bonne nouvelle c'est que malgré la casse d'une petite partie du corps de la pedale, j'ai quand meme pu continuer la journée sans soucis. Et comme j'avais tordu un axe gauche sur ces modeles de pedales en Novembre dernier et que ce coup ci j'ai pété la pedale droite, avec 2 paires de pedales HS, j'arrive a en faire une paire fonctionnelle.

Bilan des courses, ces pedales OneUp Composites sont tres bien, mais a ne pas utiliser dans des environnement hyper rocailleux ou on tape tres souvent les pedales (en gros dans mon cas, juste la Mouliere).

Jacinthes des bois.

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Tiens y a une app sur smartphone qui s'appelle PlantNet.
Tu prends une photo de ce que tu veux identifier et ca te dis ce que c'est.
Ca marche avec les abres, fleurs, fruits etc etc... Plutot efficace ce truc.

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//mode pub
Inria, centre de recherche national en Informatique, mathématiques appliquées et robotique, l'un des tous meilleurs centre de recherche mondiaux autour du "numérique", a transféré des algorithmes de reconnaissances de plantes, de fleurs et de classification. Une entreprise les utilise dans cette app' dispo sur Android et iOS :

//fin mode

Tu pourrais essayer @Carbone :slight_smile:

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ça fait des années que je me dis qu'il faudra que j'essaie, mais j'aime faire appel à vos neurones :slight_smile:
Une jacinthe, c'est bien à ça que les feuilles me faisaient penser.

J'aurais dit Carole mais Jacinthe, ç'est joli aussi...

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Je salue l'exploit technologique incroyable de ces applis, mais je n'en vois pas l'utilité.
Je trouve qu'elles ne nous apprennent rien.

Un éminent botaniste (Couplan) m'avait impressionné par la somme des connaissances qu'il avait emmagasiné sur les plantes. Je lui ai demandé comment faisait-il pour reconnaître et connaître des milliers de plantes. Il m'a répondu que ça n'est pas si difficile si on vit une vraie histoire avec chacune d'elle.
Ainsi quand je trouve une fleur que je ne connais pas, je l'observe, je la touche, je la sens, j'observe son environnement, je la prend éventuellement en photo, et ensuite, une fois rentré à la maison, je compulse mes bouquins de botaniques pour trouver qui elle est (des fois c'est ardu). Et au final je me souviens d'elle.
Avec ces applis on trouve la fleur, on la scanne, le logiciel donne son nom, et on continue notre chemin avec 90% de chance de l'avoir oubliée dix minutes plus tard. Bref, on ne se crée pas d'histoire avec la plante.

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Le meilleur moyen de me souvenir du nom d'une plante, pour moi, c'est de le partager avec d'autres, parce que ça crée une association d'idées dans ma tête.

Mais une appli quand personne avec toi dans la rando ne sait, ça aide.

Je viens d'essayer l'appli, c'est bluffant : depuis la photo avec la Kroll des bois, l'appli a reconnu la Jacinthe des Bois.

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