Alors ça roule?

Biz' faudra que tu penses à écrire sur le désespoir paternel, à tous niveaux :blush:

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J'ai resolu ce probleme de 2 facons:
1/ En tractant
2/ En faisant un grand usage des remontées mecaniques en saison => reste plus que le fun sans la partie souffrance.

MDR !!!

En effet !!!

On va voircet été si on peut faire un peu de télésiège en famille, ca peut être une expérience intéressante.
Mais comme on ne trimballe pas systématiquement 4 vélos quand on part, v'là le budget location.
Quand t'en as qu'une et que tu as des sentiers devant chez toi c'est plus simple forcément.

Pendant des centaines d'années on a dit aux filles que le sport n'était pas pour elles. Finalement elles y ont cru...
Faire du vélo pour une femme n'est pas si vieux

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Il y avait un super article la-dessus dans le mag 200, qui racontait la même chose:

" Car la bicyclette est aussi accusée de les détourner de leur devoir conjugal: par le frottement des lèvres et du clitoris sur la selle, la femme pourrait éprouver un plaisir sexuel, une «effervescence», une «surexcitation lubrique» et un «accès de folie sensuelle», comme l'écrit le docteur O' Followel, l'accusant des mêmes maux que la machine à couture en son temps:

«La femme grisée par le grand air, la vitesse, s’abandonne peu à peu à l’excitation ressentie, à la sensation de jouissance spéciale qui est peut-être la cause du plaisir éprouvée par elle sur une balançoire, sur les montagnes russes, plaisir qui souvent la conduit jusqu’à la volupté.»

:scream:

C'est quand meme impressionnant la quantité de c*** qui etait inculquée a l'epoque.
Mais bon, plus personne ne dit ca maintenant, donc qu'est ce qui coince de nos jours?

Ma fille aussi j'ai bien essayé mais sans succès. Soit ça brassait trop, soit c'était trop long, soit il faisait trop chaud, etc. Mon discours sur le dépassement de soi, que ta tête souhaite arrêter bien avant que ton corps ait atteint ses limites n'a eu aucune accroche. Elle a zéro intérêt à se faire suer sur un vélo quand elle peut être bien confortable à la maison.

Au contraire David il est toujours super motivé à l'idée de faire plus de km, plus de D+, découvrir des nouveaux coins.

Et le 3e c'est un gars, mais sa réaction ressemble un peu à celle de sa soeur. Sortir 10 minutes pour tourner dans le quartier c'est suffisant pour lui. David a déjà tenté de lui faire faire le tour du boisé derrière la maison en vélo, et il est revenu en colère en poussant le vélo en disant plus jamais.

A ce que je vois autour, c'est la majorité des gamins qui sont comme ca. Le depassement blabla, ca commence a leur faire tilt quand ils ont 15/16 ans. Pas avant. On roule avec un collegue et son fils. Maintenant il a 15 ans je crois et les montées le motive. 2 ans en arriere, toute montée etait un calvaire car toujours trop longue.

Pour les filles, il y a des sujets qui ne les attirent pas : pourquoi n'y a-t-il quasi plus de femmes en informatique alors qu'il y a 30 ans c'était moitié/moitié ?
Après je ne sais pas si en vélo de route il y a plus de filles ...

Tu as probablement raison. David il tilté beaucoup plus jeune mais c'est probablement parce qu'a l'école il n'arrive pas à performer. Il a réalisé qu'il pouvait performer physiquement et ça le motive beaucoup.

Ceci étant dit ma fille elle a 16 ans maintenant et toujours pas de tilt... Mais en ce moment elle se cherche un emploi, va passer son permis, toutes des choses qui la sortent de sa chambre, alors je suis optimiste!

Faire un effort comme investissement à plus ou moins long terme, pour un gamin, c'est pas super évident non?
Il faut qu'il y voit un intérêt à court terme, à la hauteur de l'effort. Monter 20mn dans un inconfort physique et moral de masochiste pour 2mn de descente, je peux comprendre que ça embraille pas :stuck_out_tongue: .

On pourrait poser la question dans l'autre sens... Pourquoi les hommes continuent-t-ils autant à s'enfermer derrière des écrans à essayer de se remplacer lui même par des machines?

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Un rien de frustration mon Carbone? On aurait mieux fait de faire des études d'infirmier ou d'instituteur en maternelle, hein?

Faut que je montre ça à ma chère et tendre...

Exactement. Le Vélo c'est quand un sport difficile surtout quand on debute.

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Bah au pire tu lui achéte en VAE :vttdoor:

C'est sur que c'était des conneries. La preuve et la raison pour laquelle les filles ne font pas de vélo : c'est anti-orgasme !

Sinon pour rester dans le sujet, plein le dos d'être en isolement, j'ai repris le vélotaf', mon collégue étant en vacances je ne risquais que de contaminer les plantes vertes. Ca fait grand bien de faire tourner les jambes...même en mode atomique (puis aprés 25kmh c'est moi qui pédale :innocent:).

Les t° sont presque redevenues printanières, pas de gelée ce matin. Mais encore un put... de vent de s/e qui était pas bien chaud (et qui oblige à pédaler dans les descentes :angry:). Suis rentré avec une barre au front :confused:
J'ai jamais trouvé un mois d'avril aussi long, froid et venteux mauvais...

38 kms/~500m d+ sur la pause de midi, ça tient tout juste.

Le vent m'a fait basculer le vélo dans le ravin juste avant que je prenne la photo, je l'ai récupéré par la roue arrière avant la glissade ! :astonished:

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Allez, c’est mardi, il est midi pile, je file. Je bondis dans mes fringues de vélo, je vérifie si mes tubeless n’ont pas perdu un peu (que dalle ! :sunglasses: ), je mets mon casque, mes lunettes et mes gants, de l’eau dans mon bidon, ma banane que vous m’enviez toutes et tous et… C’est parti ! 10 minutes plus tard je suis dehors. Je monte sur mon vélo pour un tour rapide. Express même. Quai du Rhône, bondé de coureurs, petit single en contre bas de la Cité Internationale qui est un brin casse gueule avec la végétation qui a filé, traversée du Parc de la Feyzine, et me voilà sur la piste cyclable qui m’emmène à Miribel. Je plonge (entendons-nous bien, c’est pas un toboggan, hein, disons que je bifurque… :wink: ) vers un lône, paisible, et je remonte un petit sentier qui serpente à fleur d’eau, sous les bois, je ne me lasse pas de couleurs (*) :

Ca virevolte, ca slalome, c’est le panard, j’ai la… banane :crazy_face: Je remonte quelques centaines de mètres plus loin, je rejoins la piste cyclable, j’arrive à Miribel. Passage sur le bord de plage (si si, y’a une plage) et je bondis dans le single du Morlet. Je l’ai toujours aimé lui. Il me donne toujours le sourire. Un tour dans le Morlet, je reprends la piste cyclable en sens inverse, je coupe à travers Villeurbanne. Douche, miam, et me voilà dans une audio.

(*) je suis presque sûr que cette photo, vous l’avez avec tous mes vélos, tous mes montages :crazy_face::crazy_face::hugs:

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