Il fait beau à Davos !
On est passé sur plein de sentiers qu'on avait pris à l.ag en effet !
Au début jme disais mais merde jsuis déjà venu ici ?
A vos souhaits :
Trop bon les Vosges !
Vraiment trop bon !!!
Ha oui moi aussi j'ai vu des jolies montagnes et des jolis singles en sous bois...
J'ai même vu des meuhmeuh
Le mont blanc au loin
Et j'ai même vu de très près un BigJim
Yessss !
Je kiff toujours autant rouler a la tombée de la nuit ! Je profite des vacances dans le Var.
Cap lardier.
Coucher de soleil sur Cavalaire depuis le cap lardier.
Même endroit. J'ai juste fait demi tour sur moi même...
c'est BOOOOO !
ça a pas mal cramé au cap Lardier il y a 2 ans
Hier matin j'avais une course à faire à Grenoble. J'en profite pour prendre mon vélo et partir de là.
Au départ je pensais monter au col de Vence et faire un remake du J3 du Grenet. Je n'avais pas prévu un programme trop ambitieux, car la météo était censée être mauvaise (du coup je n'ai pas pris de sandwich)
La montée au col de Vence par une petite route bien raide est assez éprouvante, mais arrivé au col, je me me décide de poursuivre jusqu'au Sappey.
Arrivé au Sappey, je vois Chamechaude, le point culminant du massif, se dresser devant moi. Le ciel est dégagé, le mauvais temps ne semble pas être pour tout de suite.
Je tente une course alimentaire à l'épicerie du village (car je n'avais pas prévu de casse croute), mais il y a une file de 10 personnes à la caisse, je ne peux pas laisser mon vélo aussi longtemps tout seul, il risque de partir avec quelqu'un d'autre. Tant pis je ferais avec les barres.
Je poursuis la montée par la route départementale, je suis à 1000m, j'ai fait 800m de d+, il en reste plus de 1000m pour le sommet, c'est pas gagné.
Peu avant le col, je prends une piste forestière pour éviter un bout de route et commencer la montée. J'ai pas trop les jambes, mais je continue.
Je rejoins l'itinéraire qui vient du col, le chemin fait 2 traversées raides avec un virage au milieu. C'est raide, mais le grip est excellent, ce qui me fait monter à 1500m sur le vélo.
Il y a encore un peu de sentier forestier racineux, ça commence à moins bien passer, mais j'arrive rapidement à la cabane des Bachassons.
A cet endroit, je sors de la foret, le sentier est gravilloneux, ça doit bien passer en descente, mais j'ai pas l'energie pour pédaler, donc portage.
Passage devant le rocher en forme de champignon
Le sentier monte en épingles qui ont l'air de bien passer à la montée, jusqu'à 1950m où ça devient plus rocheux. L'hiver meme à ski, souvent ça ne passe pas.
Pendant ce temps, les piétons, touristes pour la plupart , me regarde médusés, "mais vous aller descendre par là?" "Bah oui mais jusqu'à présent ça avait l'air facile". Il y avait aussi un gars qui est monté lui aussi en vélo (de route) au col de Porte, mais l'a laissé au col.
Et voilà j'arrive jusqu'au cable. L'hiver on laisse les skis là, le vélo tu reste sagement là.
L'aller retour au sommet est court, les 5m à escalader correspondent à ce qui manque pour atteindre le sommet.
Je prends quand même ma roue (pour décourager un voleur potentiel)
Pas de casse croute au sommet, mais quelques photos quand meme:
vue vers le Grand Som et la Dent et les Lances:
vue vers la Sure et le Charmant Som
prairie de l'Emmeindra (passage au Grenet)
Je redescend le cable pour rejoindre le vélo. Le départ de la descente ne passe pas, mais ça dure 2 minutes ensuite c'est un enchainement d'épingles, sur un sentier en gravillons fins, un peu fuyant. Ca passe bien à condition d'avoir les pneus est les freins qui vont bien
Très vite, j'arrive à la cabane des Bachassons, pour prendre un sentier en travers, pas très roulant, en montagnes russes, sympa quand ça descend, mais moins sympa quand ça monte. C'est pas très long, en 10-15 minutes, j'arrive au Habert de Chamechaude (au pied des falaises sous le sommet)
J'avais prévu une suite, mais je me laisse prendre par un joli sentier en épingles, bien sympa au départ.
Malheureusement, il arrive vite sur une piste. Je fais encore un peu de traversée, un peu de montée et de descente pour rejondre un sentier DH qui avait été tracé par des vététistes locaux.
Et là ça part en c...,, le sentier je ne le trouve pas (en plus je n'ai plus de téléphone, donc pas moyen de récupérer la trace). Si je trouve une trace, volontairement recouverte sur toute la longueur par des branches. Je commence à maudir, le mec qui s'est amusé à faire ça.
Plus bas, je perds la trace, commence à faire du freeride dans les bois, avant de terminer à pied et de tomber sur la trace.
Je porte le vélo 5 minutes, pour la reprendre de plus haut, je finis par tomber là aussi sur des branches. J'ai pas le courage de remonter tout le single chercher le départ. J'ai surtout envie d'une tarte à la myrtille et d'une bière, donc je redescends au village.
A la suite, ma montre GPS se bloque (décidémment), je shunte la montée du Saint Eynard (400m de d+), j'en suis déjà à 2000m, et je file direct par la route au col de Vence.
Je vais quand meme chercher le single de la Vierge Noire, 200m positif qu'on avait fait au Grenet. Toujours aussi sympa. On se croit vraiment dans le Sud sur ce sentier, entre la végétation (pins et chênes), marnes ravinées un peu comme à Digne, cigales,etc
Et cette fois, ils ont viré la barrière à 3m de haut et bas de la descente. Tant mieux.
Par contre dans l'un des derniers virages, je m'apprêtais à tourner à gauche, au dernier moment je vois que c'est à droite et bam ! casque genou épaule au sol. sans gravité.
Je ne fais pas la remontée pour chercher le dernier single, je file direct en bas, je suis cramé.
J'ai remis ça hier. J'ai pris le vélo de route, départ de Cognin (sur Isère pas celui de Chambé). NB j'aurais pu y aller à vélo, mais ça me faisait faire 2x1h de liaison et j'étais pas motivé pour ça.
J'ai pris mon temps le matin (j'étais dans mon jardin) et je pars relativement tard sur le coup de midi.
La montée est relativement ombragée et on n'est plus en période de canicule (30°C) .
Le départ est vraiment sympa, on attaque tout de suite par les gorges du Nant.(ça fait bien Savoyard comme nom)
Je passe le village de Malleval, et puis je continue. La montée est encore longue après le village. Elle se termine à environ 1300m à Patente.
De là j'en profitte pour m'installer à une table de picnic et manger un peu au milieu de hêtres de la forêt des Coulmes.
D'où je suis, je peux continuer la montée pour passer le col du Mont Noir (1450) et descendre par la route des Ecouges. Mais je peux aussi descendre à Prelles et faire du valloné pour rejoindre le col de Romeyère. Je prends la deuxième option
Coup de mou après Prelles pour passer le col de Pralétan. Il faut dire, que les chênes et le buis ont remplacé le hêtre et le sapin, il fait nettement plus chaud que de l'autre côté.
Sur le retour je me suis arrêté à un site géologique (vallée des Rimets). J'ai pas été franchement emballé, c'est pas les ammonites de Digne.
A part sur ce cailloux là, j'ai pas vu grand chose d'intéressant:
La vue sur les sommets de Villard est nettement plus sympa
Je reprends le vélo, monte au col de Romeyère. Descente prudente sur la vallée par la route des Ecouges
et retour au point de départ.
C'était un peu mou cette sortie, j'ai un peu subi sur le retour.
Merci Brup tu nous fais voyager!
J'adore, exactement ce que j'aime en bitumespad, petite route et paysages. Superbe !
Pour changer du bitumespad avec Seb on a fait une sortie .
C’était un tour que j’avais éliminé du grenet (si je l’avais mis au programme, vous m’auriez scalpé )
Le pépin mécanique est un souci de chaussure pour Seb
Je ne suis pas passé loin hier. Je voulais voir Pont en Royan et ses maisons suspendues. Avec la chaleur j'ai un peu souffert et j'ai bien apprécié la fraîcheur du long tunnel des grands goulets.
Je viens de rentrer à Dunkerque. C'est pas pareil, mode déprime activé !
pont en royans je comptais y passer jeudi . Quand j’étais à Presles j’avais juste à me laisser glisser.
Mais j’ai préféré ne pas y aller, j’avais peur de la remontée plein sud . J’ai bien fait parce que je suis déjà assez fatigué comme ça. Hier j’en ai bien bavé en vtt avec Seb.
Hier j'ai fait un tour avec Seb.
La veille, j'ai pas trop d'idée, pour ne pas aller trop loin, je pense à faire le tour du Charmant Som, un tour que j'avais rejeté du GreNet de peur de me faire trucider.
Sauf qu'au reveil, je vois que c'est tout mouillé de partout. Vite fait je commence à chercher une idée de remplacement plus au Sud (Diois), mais bon ça fait faire 2x1h30 de route, sans compter les départs/retours de vacances.
Donc dès que j'ai récupéré Seb en gare de Voiron, nous filons direct sur Saint Pierre de Chartreuse. Le temps est bien bouché, mais il ne pleut pas.
On monte par une route fermée à la circulation, et nous atteignons rapidement un belvédère
Au délà, un sentier à flanc continue, d'abord descendant, plutôt étroit et avec du gaz sur le côté, le tout étant bien mouillé puis ça remonte pour récupérer la route du col de la Charmette, encore une route fermée à la circulation.
Seb a des photos.
Au col, on quitte la route, par une piste raide, avant de s'engager sur un sentier en montée. Ce sentier est inroulable à la descente (il y a toujours des grosses pierres au milieu), alors autant le prendre à la montée en portage.
Au bout de 150m de montée, on rejoint une piste, je pensais pouvoir rouler, mais c'est pas de la DFCI, elle est super raide, j'en fais encore un bout à pied. Par contre, au dessus de la forêt, le sol est bien sec.
Au sommet elle rejoint la route du Charmant Som (et oui il y avait une route qui part du col de Porte, mais j'avais pas envie de la prendre), au niveau de l'oratoire (que l'on ne voit pas dans le brouillard)
On poursuit la route jusqu'au bout (auberge) et on pique nique un peu plus loin dans les alpages.
La vue est magnifique... euh non c'est tout bouché Mais c'est sec.
On laisse les vélos cachés derrière un rocher et on fait l'aller retour au sommet à pied. Le chemin est inroulable donc, ça sert à rien de s'emmerder avec un vélo
Ensuite on prend le sentier des dalles. Là aussi c'est difficilement roulable, quelques grosses marches, mais surtout beaucoup de grosses pierres. Les trailers que l'on croise nous souhaitent bon courage. La deuxième partie de la traversée devient un peu plus roulante, on peu se laisser glisser quelques secondes comme là:
Ou la
Au passage Seb s’en met une, réception sur la chaussure dont la semelle lache. Le caoutchouc se déboîte autour de la plaque. Réparation au démonte pneu + Rilsan. Les miennes de chaussures ne sont pas en meilleur état.
On arrive au Collet, début de la descente proprement dit. Le seul problème c'est que c'est en sous bois, et comme dit plus haut, la foret est glissante. Ca rajoutera un peu de difficulté à la descente du collet.
On a des belles épingles, au milieu de tout ça.
En bas on fait un tour au pump track et on reprend la voiture... sous le soleil et le ciel bleu