Alors, ça roule toujours?

Tout à fait ! Mais j'ai un pb de sentier par chez moi, y'a pas de montées tranquilles si je veux pas partir trop loin. A part aller faire de la route, je me retrouve toujours à faire des montées intenses. Sans les faire à fond, en fait, t'as l'impression d'en baver, sans avancer, t'es mort en haut, et c'est qd même trop intense pour faire bosser l'endurance. Bref, à force je voyais plus de souffrance que de progrès et avec l'impression de plus pouvoir faire de l'intensif. Jusqu'à ce que ça me gonfle et que je retourne dans un raidard que je faisais y'a quelques temps en mode bourrin et que j'étais persuadé de plus pouvoir passer. Bah en fait si, et même plutôt bien. Ca fait même moins mal aux guiboles en force qu'à essayer de grimper au train sur du raide.

Mais comment ils font les belges et les hollandais pour travailler l'endurance l'hiver s'ils ne font que du CX, hein? :vttdoor:

Il s'arrachent sur le plat :smiley:

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Ils boivent de la bière ?
Non ok :vttdoor:

En fait travailler l’endurance sur la plat ce n’est pas vraiment un problème (si ce n’est que c’est chiant )
Bon j’avais dit que j’arrêtais de parler de ce sujet (des habitants de l’Europe du Nord qui font du cx)

bah ils font des longues sorties pour l'endurance et du CX pour se faire péter le caisson !

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Je croyais qu'ils pouvaient pas rouler l'hiver, c'est pour ça qu'ils pataugent dans la boue? :wink:

9 messages ont été scindés en un nouveau sujet : La boue, pour qui et pourquoi?

Ils peuvent rouler sur la route en entraînement mais peut-être pas en course :dizzy_face:

Au final, y'a plus de solutions que pour échapper aux 40° dans le Sud en plein été, non ? :vtttong:

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Pour ça qu'ils préfèrent faire la course dans la boue? :thinking:
Nan mais moi j'vois qu'une raison... ils aiment ça.

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Fais pas souvent 40 chez nous quand meme. Je crois que cette qnnee c'est arrive une seule journee.

La fraîcheur est plus près du sud l’été, que le soleil en Belgique l’hiver .
Par exemple , J’étais dans les alpes maritimes cet été, alors que le département 06 était soit disant en canicule, j’étais habillé en polaire , il devait faire 10
la nuit et 18 la journée.
Bref des températures qu’on pourrait trouver l’hiver sur la côte, à mois d’1h de Nice .

De manière générale les alpes c’est pas loin du sud.
(Alors que la Provence est loin de la Belgique )

Mais bon j’avais dit que je parlais plus de ce sujet mais la discussion a changé de fil !! Vous faites ch… :wink:

Je devais pas être chez moi , la semaine où il a fait chaud . J’étais au frais dans le sud

Tu sais c'qu'elle te dit la petite pente sur une modeste colline???

A.

PS: qu'on ne trouve pas beaucoup de terrasses sur de telles pentes... :vttdoor:

Oui pardon imperméable

« Plat » ca veut dire quoi ? :wink: encore un anglicisme ?
:wink:

Oui tu as raison , mais ça ne me vient pas à l’idée de rouler sur le plat . En pente il n’y a presque pas de problème. :wink:

En vérité, je vais arrêter de caricaturer, de faire mon Brup ,en forêt , on peut trouver une couche d’humus , au dessus de la couche d’argile , elle même recouvrerte de feuilles mortes.
Quand il pleut , l’humus pompe l’eau, les feuilles sèchent avec le soleil et le vent .
Et au bout d’un moment l’humus est tellement mouillé , qu’il n’adhère plus sur l’argile dessous .
La dessus le vetetiste arrive avec des gros pneus , en gomme tendre qui adhérent de folie sur la couche de feuilles/ humus et au premier freinage , ça fait tapis roulant , la couche superficielle se décroche .
Ceci dit avec le passage, à force de décrocher, c’est terminé ça, maintenant on est directement sur l’argile ou la roche mère en calcaire , il y a moins de boue qu’avant je trouve ( car la terre qui recouvrait les sentiers a disparu).

Reste qu’effectivement les replats , il ne faut pas y aller sous peine de rester englué jusqu’au printemps .

Je ne suis pas vraiment dans les alpes, je suis au pied des pré alpes (c’est en fait la pointe la plus au sud du Jura au sens large), dans une zone de moraines d’un ancien glacier énorme qui montait jusqu’à 1000m.
Ça a déposé beaucoup d’argile, des rochers qui n’ont rien à faire la (granites), pas mal de galets et des que je monte ou que je vais dans les gorges , je retrouve la roche mère calcaire . Enfin ça c’est du côté chartreuse, parce que de l’autre, sur les collines , c’est de la molasse (le tour de la molasse ), mais j’y vais jamais dans la molasse.

En tout cas , pour avoir fait des trous dans mon jardin, en présence d’un géologue pour déplacer mon puit perdu , il y a des zones où c’est de l’argile (c’était malin de mette un puit perdu dans l’argile ) et d’autres ou c’est du galet fin hyper drainant. Ça n’a pas été difficile de savoir où mettre le puisard.

Effectivement l’argile ça fait des grosses semelles aux chaussures l’hiver, mais je ne fais pas de vtt dans mon jardin .

Bah si justement, la culture en terrasse ça te parle ?
Les fameuses restanques :wink:

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Bon j’ai les boules, après avoir été à pied en forêt aux champignons, avec ma fille , je voulais enchaîner avec une sortie VTT pour profiter des derniers rayons de soleil et faire monter un peu le cardio.

J’étais dans mon garage en train de m’occuper du vélo (squirt sur la chaîne ) et là je ressens une brûlure sous le bras. Au début je pense à une piqure de fourmi ?
Ça brûle vachement cette saloperie, je finis par poser la burette et je m’écarte du vélo et là il y avait une guêpe poliste (longues pattes) au plafond et la piqûre correspond à une piqûre de guêpe.
C’est bien la première fois que je me fais piquer en intérieur, et puis en plus la j’ai y’avait pas de raison.

Du coup, vu que je suis censé être allergique , je vais éviter de diffuser le venin dans tous le corps
tant pis pour la sortie .

Ah elles piquent ces guêpes là ? Elles ne l'ont jamais embêté. C'est peut être comme la guêpe classique qui devient bien plus agressive avant l'hiver.

Sinon le squirt, juste avant la sortie c'est comme pisser dans un violon :smiling_face:

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Ça tombe bien j’ai pas roulé . :wink:
Je croyais que ça séchait en 1h maxi , j’avais le temps de me préparer tranquillement.

Moi non plus… jusqu’à présent.
Il paraît qu’elles ne piquent que si on s’approche trop près de leur nid, ce qui peut laisser penser que j’ai un nid dans le garage. (Ou qu’on est ramené un nid en rentrant des affaires dans le garage)

Il parait aussi que leur piqure serait particulièrement douloureuse… alors je dirais que sur le coup non (je pensais juste à une fourmi), par contre ça monte rapidement en intensité avec une sensation de brûlure de plus en plus forte et qui dure un certain temps, suffisamment pour que j’arrête de m’occuper du vélo, mais rien de bien méchant (j’ai quand même pris les traitements préventifs pour l’allergie)

Je me suis quasiment toujours fait piquer à l’automne, mais d’habitude c’est dans les bois

En general c'est effectivement pas si long (c'est sur faut pas en mettre et partir 15min apres).

Sortie vtt au départ de la maison.
Il fait la température idéale , ni trop chaud , ni trop froid .
Je prends la direction du nord .
Montée bien raide à froid (en 28x 50 ça passe facile ), puis je traverse des lotissements de Coublevie avant de prendre un chemin qui monte au milieu des champs , toujours pas mal d’eau sur ce chemin, car il y a des sources mais ça va . Ensuite ça continue en Gravel par une piste à plat jusqu’à st Etienne de crossey .

Apres quelques coups de pedale , je prends un sentier raide à la sortie de st etienne de crossey, ça devient du vtt avec de l’adhérence à gérer sur les rochers, je passe au dessus de saint Nicolas de machin, son château, son église …

Je m’engage dans le vallon des petites combes , repis de courte durée

Ensuite ça monte bien raide, pour rejoindre la crête de la colline , au grand vivier , mais là ça c’est goudronné.
Vue sur la chartreuse

J’arrive a l’étang des chartreux .

En plan large

Ensuite j’ai arrêté de prendre des photos .
C’est un sentier de crête valloné , mais globalement montant . Pas de boue tant qu’on reste sur le sentier de crête. C’est globalement sec, mais sous les feuilles, le rocher peut glisser .

Le sentier me mène au sommet de la colline . Un point côté 931, au dessus du col des 1000 martyrs .
Je prends le sentier de descente . Au début c’est du sentier façonné avec des relevés , et puis du joli sentier naturel , dans les bois un peu sinueux .

A un moment donné , au détour d’un virage , je me fais surprendre par des branches tombées au sol. La branche à gauche m’éjecte à droite , le vélo bute à droite de l’autre côté et je me retrouve au sol , avec le genou coincé entre le cadre et le cintre .
J’avais des genouillères, mais les petites souples et de toutes façons elles protègent des chocs frontaux, pas ce cas de figure .
Donc je sens que je n’ai rien de cassé , mais ça fait quand même bien mal .

J’arrive à me relever , ça a l’air d’aller . I
Le temps de redresser le guidon qui a tourné autour du pivot , retendre la commande de tige de selle , qui n’a pas aimé la chute c’est reparti.

Au bout de la descente, je suis encore loin, je remonte sur la colline d’en face . Après j’ai pas choisi l’option PM plus directe, je prends l’option GM qui passe près du rocher de la garde . La liaison est un peu longue .

J’arrive au départ d’un sentier balisé vtt, je le prends, ça descend, ça tournicote un peu , ca remonte un peu , ça descend et je tombe sur un mur de ronces .
Pas envie de traverser ça.

Demi tour , et je vais au pied de la descente que je connais .
Alors elle dans dans Trailforks, cotée rouge , mais je ne suis pas vraiment fan , beaucoup de rocher, de dalle , ça peut vite glisser quand c’est humide et elle n’est pas franchement ludique, une descente à l’ancienne .
Il existe aussi une bleue qui descends l’autre versant de la colline. Mais 1 elle m’impose de faire un portage pour franchir la barre rocheuse qui me sépare du départ et 2, je suis pas motivé pour descendre sur l’autre versant , après faut rentrer et pour être franc il était 14h je n’avais pas mangé , plus de barres et j’en avais assez .

Du coup la descente « old school » . Alors c’est sec , mais ça secoue pas mal . Je me demande si La Fourche fonctionne bien. Bref j’arrive en bas.

Ensuite c’est pas fini , j’arrive au village de st Étienne de crossey, là je prends 2-3 épingles qui descendent à un étang , et il faut remonter en face ., encore un peu de montée et je vais chercher la dernière descente que je fais quasi à chaque fois , la descente du Batier.
Des virages bien ludiques dont 2 épingles . Ça fini en glisse dans le galet
En bas il me reste encore 3 km pour rentrer et c’est fini.

Sinon j’ai un genou 2x plus gros que l’autre

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