Si tu veux pas te faire larguer par JF, tu seras en mode “à fond” à priori 
A Oignies, on ne l’a pas vu beaucoup le JF, il était trop devant…
c’est surtout que tu étais loin derrière
Hey les gamins, attendez un peu avant de vous chauffer.
Le Roc c’est dans 11 mois.
De toute façon Steph ne fera pas le marathon, il sera au salon
Pour te pourrir je suis prêt à rater un jour de salon 
Mouarf ! On est passé en mode « le 1er qui freine est une lopette ».
J'ai regardé la météo, bah Mazette, il va pleuvoir comme vache qui pisse...
La météo à 11 mois c'est infernal de précision, si si je vous le dis !
Du coup, les Nordistes vont vous pourrir.
Meme pas car quand c’est mouillé c’est la ou y a le meilleur grip dans les Maures. Rien n’est pire que d’avoir un sol super sec la bas.
Peut être pour moi mais rien de sur
Séb’
J’ai bien envie de venir. (c’est bon StephW, c’est bien ça que tu m’as dit qu’il fallait dire ?)
Le Roc Marathon ça me tente aussi (tant qu’à en chier, autant que ce soit pour de bon , et pis, si je m’inscris dans la première vague et vous dans la dernière, on se verra au moins une fois sur le parcours )
Je devrais mettre le Roc’Net au programme. Autant venir voir à quoi ça ressemble depuis le temps que je critique et en plus il y a plein de copains Le Roc Marathon c’est un beau chalenge pour un Humble 50’s Biker dans mon genre. Mais les images de l’épreuve sont fort peu alléchantes moi qui suit au bord du suicide dans les bouchons du périph’ … 
Ha si je pense que c est à faire une fois dans sa vie de vttiste
Hé moi j ai pas de feu rouge à moins d’une. Heure fais moi confiance
T’as fait le Roc Marathon toi ?
bah nan c’est bien pour ça que je tiens a le faire !
Les Bouchons du Roc c’est pas non plus la grosse mort.
Cette année sur la course du Dimanche, dans la descente de la flute ca avancait pas tres vite pour moi mais ca avancait.
Ensuite y a eu un bouchon au depart au car brulé ou on etait filtré pour partir trois par trois (a cause d’un gros crash bien avant que j’arrive). On a fait la queue en haut mais une fois dans la descente, plus de soucis particuliers surtout si tu es en mesure de doubler les chicanes mobiles dans les trajectoires les plus pourries.
ça me tente beaucoup aussi. Je ne sais pas encore ma situation à l’automne prochain mais ça doit pouvoir se goupiller.
Je ferai la chicane mobile
Mais on va finir par faire descendre tout le club, c’est bien ca…!
Pas de crainte pour les bouchons, il y a 2-3 endroits ou ca bouchonne un peu mais c’est pas long (au pire tu tentes le «holeshot» de ta vague ).
Viendez… Ca va etre grand ©C14
Amis du Roc bonjour
Pour info, je viens de valider la réservation de l’hébergement, pour 20 places en chambre double (vous pouvez donc venir avec madame, si elle est d’accord, même si elle ne roule pas…). Cette résa tient jusqu’au début du printemps et devra être confirmée définitivement à ce moment là.
Au niveau des intentions, sur ce fil de discussion j’ai compté ~12 personnes pour l’instant.
Sachant que les inscriptions pour les épreuves du Roc ouvrent le 25 février, il faudra que d’ici là, les intéressés aient choisi :
- de venir (c’est mieux pour la suite )
- la/les randos/courses auxquelles ils voudraient participer (et qu’on synchronise ou centralise les inscriptions pour être dans les mêmes vagues).
Pour l’inscription au randonet, on va dire pareil pour faire simple :
- séjour choisi (pour rappel, on part sur 4j du mercredi 5/10 au dimanche 9 (format idéal pour profiter de tout tranquillement selon moi) et on peut choisir de ne venir que 3 ou 2j) pour la même date.
Ce qui veut dire : confirmation (avec versement d’ahrres à définir) à envoyer pour la fin février.
Pour vous faire une idée du coût du séjour, on sera en 1/2 pension (panier-repas trop cher) autour de 40€/jour/personne max (comme je l’ai déjà dit, hors inscriptions Roc) soit 160/120/80€ pour 4/3/2j.
Je m’occupe pour fin décembre/début janvier de mettre en place le formulaire d’inscription avec tous les éléments nécessaires.
Comme dit plus haut dans le fil, à faire au moins une fois dans une vie de vététiste (et se faire un vrai avis)…
Pour ceux qui on peur du marathon, je l’ai fait en 2010. A l’époque je faisais du vélo depuis 4 ans et je devais faire dans les 96 kg minimum. Voici mon compte rendu de l’époque.
Je tiens tout d’abord à remercier les Bens et Oli de m’avoir accueilli dans leur groupe super rôdé. J’étais comme un coq en pâte avec un conseiller circuit (si vous avez emporté un caillou sur le circuit, vous pouvez le rendre à Oli, il le remettra à sa place lors de ces prochaines vacances), un conseiller entrainement, un cuisto, un météorologue (plus fiable que moi à Chimay !!) et même un kiné… Alban en personne n’était pas mieux servi !! encore millle mercis !
Mon objectif du week-end fixé en début d’année était de finir le marathon et comme j’avais fini Olloy cette année, j’étais confiant.
Normalement j’étais inscrit uniquement au marathon le vendredi car je ne pensais pas pouvoir enchaîner le marathon et le Roc du dimanche.
Finalement , arrivé aux inscriptions le jeudi Ben et Oli m’ont convaincu de m’inscrire au Roc même si je n’en faisait qu’une partie.
Jeudi matin, nous sommes allés repérer le début de circuit et la descente du Fournel (probablement la plus dangereuse du circuit). Au final 35 km et 500m D+, Juste assez pour se rendre compte qu’il y a bien des côtes dans la région. J’étais globalement rassuré.
Vendredi, je me suis élancé en deuxième vague avec une bonne partie du club. J’ai pris un départ calme mais contrairement à ce que je craignais, bien que ça reste impressionnant de s’élancer à 500, il n’y a ni bousculade ni engueulade. J’ai abordé le début de circuit calmement sans prendre de risque en descente et sans me cramer dans des raidillons passables en vélo avec une grande débauche d’énergie. J’ai tout de même eu un petit coup de bambou entre le kilomètre 30 et 40. On a fait quelques kilomètres dans le lit d’un ruisseau asséché avec beaucoup d’alternance vélo-marche suivi de l’ascension de Valdingarde.
Après le kilomètre 40, je savais que le plus dur était fait. J’ai donc accéléré certain de pouvoir finir ce marathon. Je suis arrivé encore assez frais dans la dernière partie, la plus belle du circuit avant d’arriver sur la plage. Ensuite je me suis donné à fond jusqu’à l’arrivée.
J’ai finalement bouclé le marathon en 6h30 mais surtout j’ai atteint mon objectif qui m’a poussé toute cette année.
Samedi matin les jambes sont comme des blocs de béton armé, Oli et Christophe Majois me disent qu’il faut rouler une petite heure. Je ne suis pas trop convaincu mais je les suis et on rejoint alors Fréjus à vélo par le bord de mer pour faire l’achat de teeshirts pour les enfants. Le salon est blindé de monde, on ne s’y attardera pas. On rejoint alors les Issambres à vélo, 30 km.
Samedi après-midi, les jambes vont mieux et le Roc me semble réalisable.
Dimanche 7h30, départ pour la base nature, il y a déjà foule et un fou furieux essaye de faire fondre son rouleau. C’est Alban Lakata qui s’échauffe !!
Je m’élance en troisième vague avec le cousin de Ben T. Sachant maintenant comment se passe le départ, je pars à fond pour arrivé dans les premiers à la première difficulté. Tout se passe bien et arrivé à la flûte( 5 km d’ascension), je me suis dit « allez J-F, tu fais toute la Flûte sur vélo et au sommet tu vois si tu continues ou pas ». La dernière portion de la Flûte et assez raide, on est arrivé à quatre au sommet en se motivant mutuellement. Les jambes ne vont pas trop mal et je décide donc de poursuivre le circuit à mon aise. Je me retrouve assez vite dans les dix derniers kilomètres que je termine à la même allure que le marathon. Bilan 4h30 et finalement le circuit est beaucoup moins cassant que le marathon et j’aurai du accélérer plus tôt. Mais bon j’ai pris beaucoup de plaisir et j’ai profité des paysages à couper le souffle.
Voici en vrac mon impression de cette événement :
-La magie de l’évènement opère et c’est avec beaucoup d’émotion que je suis arrivé à la fin du marathon avec une larme à l’œil.
-Coup de cœur pour l’ascension du Bougnon ou 200 personnes crient ton nom, avec le recul c’est débile mais sur le coup en plein effort c’est un peu magique.
-Le circuit du marathon est plus dur que ce je pensais, pour moi plus difficile physiquement et surtout plus cassant que le 85 d’Olloy.
-Techniquement, ce que je craignais le plus, certains passages sont très dangereux mais il est toujours possible d’anticiper. Je n’ai jamais été surpris à prendre un risque démesuré.
-Les côtes y sont tout de même plus raides que dans notre région et le 34 m’a souvent soulagé.
-La météo est un pur bonheur en fin de saison, déjeuner le matin sur la terrasse à 17°C restera un excellent souvenir.
-Humainement, j’ai passé un excellent séjour intégré dans une organisation bien rodée.
-Je pense également qu’il faut y aller pour le plaisir du VTT et des paysages plus que pour absolument faire un temps car il est évident que le circuit est chargé et qu’il faut parfois mettre le pied à terre gêné par un autre concurrent. Personnellement j’ai été très peu dérangé et j’ai trouvé les concurrents globalement courtois à l’exception d’un qui a mangé de la bruyère (j’espère que c’était un « pas op »). Il voulait absolument passer à gauche mais à gauche c’était ma trace !