En fait je recupère une voiture chez mes parents et je remonte en Norvègie en voiture...donc je ne repasserai pas par le même aeroport/gare.
Mais je trouverai une solution pour le transporter c'est pas un soucis!
Au pire il a des roues....je le traîne!!
Sinon c'est un vrai sac à velo pour avion...pas un sac Ikea, ni emballe dans du sellofrais....
Note on viendra aussi te récupérer avec plaisir à la gare de Mariembourg.
C'est juste pour le cas ou tu voudrais nécessairement faire tout le trajet en autonomie.
Ce weekend est probablement celui des dernières sorties reco en vue de la Fagnet. Il reste quelques tronçons à valider et d’autres à peut-être améliorer.
Samedi, après une journée de bricolage les mains et les truelles dans les enduits je pars seul me défouler un peu. Le jour décline déjà. La sortie ne pourra pas être longue. Je fonce illico vers le spot que je n’avais pu visiter le weekend d’avant. Je cherche une chouette descente pour rejoindre le Viroin partant du haut du tienne des Abannais. Les semaines précédentes j’en avais cherché à plusieurs reprises le départ par le haut, mais sans résultat. Cette fois je m’y prend par le bas. Je trouve rapidement la trace qu’il me faut maintenant remonter. Sauf que vttistiquement parlant c’est une truc à ne prendre qu’en descendant. Je remonte tout en mode poussette car il me faut repérer le point d’entrée de ce sentier. Je peste un bon moment avant d’arriver à mes fins. C’est donc ici que ça arrive. C’est vu et enregistré dans le GPS. Maintenant je peux me faire plaisir en redescendant. Ce passage vu et validé clôture les reco du J3 de la fagnet. Une bonne chose de faite.
Je continue vers Dourbes et sur un coup de tête je prend la route de Fagnole. Tout en allant je remarque un chemin forestier qui semble se diriger vers le tienne aux Pauquis. Et si c’était une liaison plus symptathique que celle prévue ? Allez hop, je ne le saurai que quand je l’aurai parcourue. Le premier kilomètre monte plus ou moins doucement dans la bonne direction. Jusqu’à ce qu’une épingle me renvoie dans la direction opposée. Flute alors. Je continue néanmoins histoire de voir jusqu’où cela me conduira. Si c’est jusque Fagnole je ferais le retour par le Ravel et Mariembourg. Arrivé péniblement en haut, je tombe sur une sorte de cul de sac car la suite de la trace indique que le chemin est privé et je choisis de ne pas m’y aventurer.
Je rebrousse chemin. Encore un truc de monté qu’il me faut redescendre. De retour à Dourbes, je me grouille pour rejoindre Nismes par la route car la nuit est en train de tomber et je n’ai rien prévu pour m’éclairer. Une fois à Nismes, je traverse le parc pour aller jeter un coup d’oeil à l’événement du weekend. Une compétition internationale de pétanque qui met tout le village en effervescence. Ou moment ou j’y passe ils en sont aux finales et le public est dense autour des quelques protagonistes qui restent.
Ce soir le ciel est limpide et après un repas tardif, avec Axelle nous prenons les sacs de couchages, une bouteille de super-des-fagnes, nous nous installons dans le haut du jardin et passons le reste de la soirée à contempler les étoiles. Il reste quelques jours pour admirer les pérséïdes et c’est probablement notre dernière occasion d’en voir. De fait nous avons eu l’occasion de formuler quelques voeux.
Dimanche retour aux affaires. Il reste quelques énigmes à résoudre sur le parcours du J2 de la Fagnet. Je dispose de peu de temps. J’embarque donc le VTT dans la voiture jusque Treignes. La, je compte bien trouver un itinéraire plus intéressant pour aller de Mazée au chemin de crête de douaniers puis aussi reconnaître une liaison par le massif Ardennais pour revenir sur Treignes.
Je me rends à Mazée par la route et j’ai la chance tomber sur la preuve utilisée par Lolo pour vérifier qu’il touchait enfin la Belgique lors de son périple la semaine dernière.
A mazée je trouve rapidement le chemin que je cherchais. Bien qu’éprouvant il va permettre d’épargner un peu de dénivelé aux randonetteurs. Mais surtout éviter le passage par un sentier mal entretenu et qui passe à l’arrière de propriétés ou l’on doit éviter les déchets de tonde de pelouses, les conifères d’ornement qui débordent et les chiens de garde ou à leur mèmère qui ne manquent pas de signaler bruyamment leur présence.
A ce moment j’ai le choix entre redescendre ou continuer. Redescendre je l’ai déjà fait deux fois la veille. Je choisis de continuer sur ce sentier de crête qui coïncide à cet endroit avec le plaisant GR125. Plus loin il continue en balcon avec de belles perspectives s’ouvrant sur les vallées du Viroin et de la Meuse. Et c’est là qu’il se produit un truc pas banal. J’arrive dans le dos de promeneurs. Le sentier est étroit. Je dois donc demander le passage. Au moment ou je vais me signaler, sentant ma présence, le quidam qui est devant moi se retourne et je me retrouve face à l’ami Lorenzo. Improbable rencontre au milieu de nulle part. Muriel est là aussi. Plus loin le frère de Laurent. On se fait la bise, on s’étonne de la taille rikiki de l’humanité. On a plaisir de se voir et l’on cause un peu. Le frangin à Laurent qui est du coin m’indique une variante. Voila pourquoi j’ai bien fait de continuer. Rencontrer des amis et trouver une trace de derrière les fagots. On se sépare. Eux sur le GR. Moi sur la variante.
Le début est vraiment jouissif. C’est technique, physique et varié. Ça sent la trace construite pour de l’enduro. Mais au bout de quelques centaines de mètres le sentier devient plus calme et commence tout doucement à se perdre dans les herbes, puis dans les ronces. Enfin arrive le bout du massif et l’on entame la descente. L’endroit est peu entretenu et je dois parfois m’arrêter pour dégager des branches ou enjamber des troncs. C’est un peu décevant. Le sentier débouche face aux ruines du château Hièrges et de la vallée de la Meuse. Un paysage qui récompense de l’étape moyenne qui précède. Le retour vers le Viroin est assez banal jusqu’à ce que l’on retrouve le GR grâce auquel je retrouve le plaisir des sous-bois.
Bref une bouclette de quatre kilomètres moyennement motivante. Il reste l’espoir que la rando de Olloy qui se déroule une semaine avant la Fagnet y repasse. De sorte que les centaines de vttistes qui y participent défrichent la trace par leur passage ce qui relèverait l’intérêt. Décision le six.
Retour au pied de Mazée et test de la liaison pressentie pour rejoindre Treignes par le contrefort Ardennais. Ca commence par une longue montée pénible et éprouvante par la route. Et cet effort est récompensé par une descente sur chemin forestier totalement insipide. Bref un truc tout à fait sans intérêt. J’ai bien fait de venir pour être le seul à subir cette punition. C’est clair il faut trouver autre chose d’ici notre rendez-vous.
Retour à l’auto. Retour à Nismes. Retour à Mons et soirée sous un ciel surprenant et complètement différent de la veille. On a bien fait de regarder les étoiles hier.
Mouarf ! Z’êtes drôles.
Mon patron est une patronne : Najat Vallaud-Bellkacem. Pas sûr qu’elle soit partante si je pose des congés ou même pour picoler.
Quant à Madame, elle bosse sur Paris en horaires décalés : je suis “d’astreinte” pour les enfants.
Cette semaine est la dernière ou il sera encore possible de s’inscrire pour la Fagnet.
J’invite donc les retardataires et les hésitants à faire le nécessaire sans délais.
Toutes les informations relatives à ce rendez-vous sont en tête de topic
Le bulletin d’inscription à la Fagnet est ici
Celui d’inscription au club VTTnet est ici
Merci aussi de songer à expédier vos chèques ou versements.
L’inscription au club est nécessaire pour ceux qui participent aux randonnées.
Les accompagnants en sont dispensés (mais il peuvent quand même).
Nous avons un vingtaine d’inscrits. Il reste douze places à prendre.
Amis randoNeteurs des Fagnes bonjour ! Pour l’organisation de ce rendez-vous, nous sommes à la recherche d’un vidéo-projecteur. L’un d’entre vous disposerait il de ce genre de matériel ?
Hier matin, dernière reco en vue de la Fagnet, mon pote JF m’accompagne.
C’est la 3 ème fois que l’on parcourrera cette trace, nous l’avions déjà faite 2x en hiver et on sent clairement une différence de température.
Il fait déjà chaud à 8H00 et après 10 minutes de pédalage nous sommes déjà en nage, la journée s’annonce torride.
Nous démarrons tranquillement sur un petit sentier longeant l’église, et on sent déjà que ça monte…
Quelques centaines de mètres sur la route et ensuite on prend un petit sentier qui longe le Viroin, sentier qui se termine par le premier
coup de cul de la journée et ça ne sera pas le dernier…
S’en vient un passage un peu trop technique pour notre niveau d’humble randonneur, nous essayons de trouver une alternative, mais sans succès, nous décidons de descendre
à pied, en restant vigilant car le sol est humide et glissant.
Lors de l’avant dernière reco, nous avions zappé ce passage, je modifierai la trace en conséquence.
Nous arrivons dans le village de Vierves, et un petit kilomètre de route plus tard et une belle montée dans un sentier, nous atteignons un mémorial qui domine la vallée, la
vue est superbe (j’avais pris mon appareil photo, mais pas de bol, j’avais oublié de remettre ma carte SD…)
Nous prenons ensuite la direction de Treignes et nous roulons sur un sentier large qui longe la nationale en contre bas, je me laisse distraire par le panorama et c’est in
extremis que je vois un fil qui barre le sentier, heureusement mon nouveau Hope M4 fait bien son travail
Nous redescendons dans la vallée par une petite descente rendue technique par les pierres et l’humidité, elle se termine par une petite marche, que je passe étonnement sans
problème (c’est encore l’effet Lyonnet )
Nous atteindrons Mazée quelques kms plus loin, par une trace beaucoup plus roulante, qui nous permet de récupérer un peu pour attaquer une belle montée sur une crète située
sur la frontière Franco-Belge ou Belgo-française .
Arrivé au sommet, nous avons droit à un single fait de pif et de paf vraiment très fun.
Le single se transforme par la suite en chemin un peu plus large avec un peu de végétation et nous arrivons à proximité du village de Hierges.
Nous voici donc en territoire Français et nous prenons la direction de Vireux ou nous aurons droit à un passage près d’une “carrière” (en fait je ne pense pas que ça soit
une carrière, Carbone nous expliquera certainement ce que c’est) suivie d’une montée en dévers ou il faut bien gérer la puissance pour ne par perdre l’adhérence, la fin de la
montée est rude, cul sur le bec de selle nécessaire…
Petite pause pour reprendre son souffle tout en admirant le paysage et les vestiges d’un ancien camp romain.
Nous avons droit ensuite à une belle petite descente dans un single que nous n’avions pas prit lors de nos dernières reco, grave erreur
Remontée ensuite par la route vers le centre du village : pour éviter de passer dans le centre du village, la trace emprunte un chemin herbeux hyper ch…que l’on zappera.
Nous entrons ensuite dans un massif forestier dédié à la chasse (la dernière fois, nous n’avions pas pu y passer) que nous traverserons par un long chemin, anciennement en
terre et qui a très certainement été asphalté pour le confort de qui vous savez…Il y a même des parkings numérotés…
Nous pensions récupérer un peu sur ce long chemin , mais au final celui-ci ressemble très fort à un faux-plat montant, un rapide coup d’oeil sur le GPS et il nous indique 35
kms et 1000 m de d+, on comprend mieux pourquoi nous avions cette sensation de monter tout le temps
Nous prendrons ensuite la direction de Le Mesnil, que nous atteindrons après avoir gravi une côte bien cassante dans un chemin herbeux.
Mon pote JF ayant déjà vidé 3 bidons, nous décidons de faire une halte ravitaillement et nous profitons d’un stand présent sur la brocante, pour boire une petite bière bien
rafraichissante et bien méritée.
Nous arriverons à Oignies quelques kilomètres plus loin en empruntant notamment, un sentier que nous prendrons la veille, mais dans l’autre sens.
Le panneau “Olloy Ravel” nous tente, car nous commençons a être un peu lessivé (il fait vraiment très chaud) mais la trace c’est… et nous continuons donc sur la trace.
Je pense qu’à cet endroit certain(e)s s’en ficheront pas mal de ce célèbre dicton…
Nous repartons donc sur une petite bouclette avec encore quelques coup de cul et finalement, la raison l’emporte et nous décidons de zapper la dernière boucle.
Nous rejoignons finalement le ravel par une descente droit dans la pente que nous terminerons à pied, et nous finissons en mode “recup” sur le ravel descendant jusqu’à notre
point de départ.
Au final : 54 kms et 1400 de d+ pour une sortie vraiment éprouvante, certainement du à la chaleur… ou pas
Sur le “papier” j’avais l’impression que cette trace serait moins physique que celle du vendredi, que nenni
Ceci dit, elle est beaucoup moins technique et il y aura moyen de couper quelques passages.
Je vais vous préparer une trace moyen mollet, histoire que je garde encore quelques potes chez VttNet