Invite le.la à un Randonet, iel m'analysera à la montée et je vous mets minable au premier freinage de la descente. Après il me faudra aussi un chirurgien.
De ce que j'ai vu ca fini par pas etre donné non plus et par demander une therapie aussi. Le vtt pour se soigner ca compte ?
Histoire de boucler la boucle infernale
Pas une chirurgienne ? 
Sinon, y'a le gravel 
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J'aurai plus de dents...
Il te faut juste une dentiste en plus alors
Nan laisse tomber. Pour l'auto analyse, y'a le forum VTTnet. Tu mets un sou dans la machine, et t'as de quoi cogiter sur le vélo pendant les montées. Tu parles d'un gadget qui te donne la pression de ta fourche et tu finis en stage de préparation mentale .
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Ca c'est ptetre que tout le monde ici essaye (d'échapper a) de résoudre ses propres problèmes ca fait du brainstorming constructif.
Peut etre que Fab a raison au final, la meilleure solution c’est la plus simple, mets toi au gravel
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Et si on branche le shokwizz sur un gravel ?
Ou un stage de pilotage gravel ?
Bon entre l’optimisation des suspensions aux petits oignons pour espérer grater 0.02s sur les segments strava et le Gravel il y a peut être un compromis ?
Je suis une quiche en descente (et en montée) mais de là à faire du Gravel faut pas pousser
(Je suis encore plus mauvais sur le plat donc pas possible de faire le graveleux)
Vous pensez à la chute en descente (pendant que vous roulez hein ?).
Pas moi, la gestion du raisonnable est en tâche de fond, et des fois m'arrête d'un coup, mais je ne me dis jamais "là vaut mieux tomber ici que là" ou "si tu tombes là, ça va faire mal"
(bon ça ne m'aide pas à aller vite, vous avez remarqué, mais au moins je n'ai pas de sensation de peur en roulant)
Le plat, c'est une descente qui s'ignore.
in VTTnetus Philosophicus, Fabus VieuxConus.
C'est pas faux, la notion du danger, a part une vague regulation de la vitesse parfois, chez moi ca se calcule un peu soit par un "ca passera pas a velo sans avoir besoin d'une infirmière " ou alors "ca va passer en serant les fesses mais oublie pas d'être detendu pour le reste" .
Parfois je me dis aussi juste " tiens je voudrais bien une infirmière " mais ca c'est plutot pendant les longues montées
Non car je roule dans mes limites.
J'y pense lorsque je connais pas et que je vais evaluer une difficulté avant de m'y lancer.
Le plat c'est le juste équilibre entre la montée et la descente, idéal pour celui qui aurait une tendance à l'hésitation. Le plat évite d'ouvrir un sujet "Mon futur sentier en montée, ou en descente de dans deux ans"
De longue. Et je soupçonne chaque caillou ou brindille de m'en vouloir. Mais c'est une philosophie : rien ne se passe jamais comme prévu. Donc je prévois la chute.
Et je vais même plus loin, j'ai peur de la chute en montée aussi.
Va falloir qu'il soit costaud le psy...
Tu consommes de la CPU à réfléchir aux chutes, et à ses conséquences, plutôt qu'à piloter, c'est contre productif.
Tu tombes souvent ?
Ah ouai, quand même... 
Gravel ? Non ? Tu veux pas essayer ? J'dis ça, j'dis ça rien
Mais, tu sais, on t'aime quand même 
T'as déjà essayé un ou deux bouchons de Pastis dans le camel ? ça aide à se détendre, tout passe crème
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Tu sais quand je pense le plus à la chute? Sur la route.
Tu sais où je me suis fait le plus mal en tombant : sur des chemins roulants. Donc le Gravel, en plus de continuer à avoir peur, je vais me faire chier sans avoir la satisfaction d'avoir été courageux. Donc non.
Et faut pas exagérer. Je peux très bien faire des descentes sans avoir peur, sur des traces moins engagées sans chercher les limites. Mais ça ne me motive pas assez. J'ai encore la prétention de vouloir progresser un tout petit peu, ce qui force à aller flirter avec quelques difficultés qu'heureusement j'aborde avec prudence. Et je me force, de plus en plus facilement d'ailleurs, à grimper au départ de descentes qui me foutent la boule au ventre. La peur je la défie, je ne l'ignore pas. Et je lui fais un doigt à chaque fois que j'arrive en bas entier. Chacun ses victoires .