Whaou c’est beau tout ça
La base est … des plus étranges.
C'eet pour protéger le plateau des souches et rochers
Article sympa, jolies photos, idées sympas :
Fab’
Un petit reportage sur l’Italy Divide :
Fab’
Le point faible de nos velos, c’est maintenant la selle ! J’en connais des histoires de cyclistes ou enduristes (moto) contraint a l’abandon d’une aventure a cause de la peau des fesses. On n’ose pas choisir une selle vraiment confortable…
La crème c’est top pour les longues distances !
L’Italie c’est beau, mais la chaleur me ferait peur, surtout aller se coucher sans douche après une journée à suer à grosses gouttes…
Un nouveau groupe Shimano pour le Gravel le GRX
Je m’interroge en lisant l’article … les pratiquants de gravel sont au courant qu’il existe déjà des vélos pour aller sur les sentiers ?
j’ai l’impression qu’on réinvente le cross country des années 90.
C’est l’évolution du vtt ces 20 dernières années vers des vélos plus gros, avec plus de débattement qui a créé un manque entre la route et le vtt ?
Pourtant le Xc existe toujours mais est devenu confidentiel
(Ça fait mieux de dire qu’on fait du gravel que du xc)
Récemment le XC est devenu vraiment plus costaud, avec des marches en montée et descente, et des sauts, a tel point que les coureurs veulent 100mm de débattement au minimum a l’avant, et souvent pareil a l’arrière (budget plus gros). On en voit beaucoup et ils passent partout.
Je comprend l’intérêt du gravel pour rouler principalement sur des routes en mauvaise état, et des chemins gravillons et chemins DFCI. Ce qui me gene c’est le guidon tordu typé route, qui n’a pas sa place hors route, mais avec un guidon plat on appellerai cela un vélo tous chemins, ce qui est moins vendeur auj.
DFCI c’est aussi ce qu’on appelle un chemin blanc ?
Spécialiste depuis plusieurs années des chemins blancs et ayant découvert les DFCI récemment, je me permets de proposer cette conjecture :
Conjecture du Fab’ dans le Var Une DFCI, c’est un chemin blanc incliné, ie avec de la pente.
De rien,
Fab’
Je me pose réguliérement la question et lisant des articles sur le sujet. Quel intéret de rouler sur un gravel alors qu’il existe des vélos fait pour justement rouler sur les chemins (on dit bien vélo TOUS terrains) ?
Oui, cela a du sens pour des vélos de route “renforcés” qui accepteront d’aller taquiner du chemin mais qui resteront d’abord des vélos de route. Mais les dernières évolutions du gravel avec suspensions à l’avant, roue de 650 et trés gros pneu, tu as vraiment l’impression que l’on réinvente l’eau chaude (enfin le VTT).
Pour moi l’intérêt du gravel c’est sa polyvalence route/chemins . Ça permet de faire du chemin après une approche qui serait trop rébarbative en vtt . Ou prendre un chemin pour éviter une route trop passante. Autre usage : les nombreux cols muletiers comme le parpaillon.
Mais si c’est pour aller dans les singles et faire du vtt avec, je ne vois pas l’intérêt.
A une époque je faisais 25km de piste cyclable aller pour faire un petit tour en vtt sur le sommet le plus proche de chez moi.
Avec un SR à 11kgs et des python en 26x2.0, ça passait, mais pas avec un all mountain actuel à 15kgs en mono plateau et pneus en 2.5 !
Après le problème de tous ces trucs la, c’est le temps dont on dispose.
Le gravel je l’imagine bien sur des longues sorties, pour son confort par rapport à la route et surtout pour aller là où ça serait trop loin pour le vtt.
Si c’est pour avoir un créneau de 1 à 2h, comme à chaque fois , autant prendre le vtt et passer le temps dont on dispose sur les sentiers.
Voici l’ ultime gravel a ce jour, je pense.
Si seulement j’avais des pistes adaptées autour de chez moi…
J’ai quand même du mal à saisir la cible du gravel : quand le VTT est arrivé, on n’a pas eu à tourner autour du pot pendant des années pour se demander où on pourrait bien l’utiliser. Là, on se demande : “ai-je chez moi assez de chemins comme il faut pour que je puisse lui trouver un intérêt ?”
Un vélo de route, je vois bien : c’est une lame, ça roule vite, tout seul ou presque et on peut passer des heures à faire un effort régulier.
Un VTT, comme son nom l’indique, on peut tout faire avec, plus ou moins bien mais tout faire.
Mais entre les deux ? y’a quoi ? qui a chez lui suffisamment de grands chemins et si peu de sentiers pour qu’un VTT ne trouve pas sa place ?
Il te manque un référentiel.
Il faut le pratiquer pour savoir à quoi ça sert (ou pas).
On a tendance à diaboliser ce que l’on ne connaît pas.
C’est une réflexe, à mon avis, corporatiste auquel les vttistes n’échappent pas.
Et puis on s’en fiche un peu de savoir si c’est utile pu pas, non ?
Qu’est ce qui est utile au fond dans le VTT ? A quoi ça sert un VTT ?
On est dans le domaine du loisir. Pas dans celui de la production utile.
Les élucubrations sont tolérées. Et même encouragées pour qu’on y consomme nos surplus de pouvoir d’achat…
Mais entre les deux ? y’a quoi ? qui a chez lui suffisamment de grands chemins et si peu de sentiers pour qu’un VTT ne trouve pas sa place ?
Beaucoup de monde :
- ceux qui ont que des chemins blancs ou sentier roulants et peu/pas de single par chez eux
- les routeux qui veulent un peu plus de nature mais qui n’ont pas le bagage VTT (et/ou n’en veulent pas)
- les routeux qui veulent un peu plus de nature mais tout en gardant l’aspect “rouler tout le temps à bloc” de la route
- les VTTistes qui voudraient bien faire un peu de route mais qui ne peuvent se résumer à rouler que sur du bitume
Bref ça en fait du monde !
Perso je fais du vélo, mon vélo (qu’on pourrait classifier en gravel vu que c’est un route qui prend des pneus de 37mm) me permet lors de mes escapades de ne pas être limité à rouler sur du 100% bitume, et j’apprécie.
Quand au fait qu’uon trouve sur le marché tout et n’importe quoi, des fourches suspendues de 5cm pour le gravel … bah c’est le marketing. Quasiment personne n’achète ça, regardez autour de vous, les “gravels” restent majoritairement des bicyclettes assez simples.