Savais pas que le 6 était sorti! Merci...
Carbone6 ??? C'est pas possible ça ... il existe du C12 (banal), du C13 et du C14, mais C6 ?
SI...licium t'as pas lu jusqu'au bout, égocentré que tu es 
@RouelibrE j'avais failli le prendre celui-là tu diras ce que tu en penses...
Ca va être difficile de te donner un avis, j'ai pas acheté le bouquin. Avec les trois que j'ai acheté plus haut l'addition était bien assez salée. Au passage :
- Les vieux fourneaux T6 = très bien. On retrouve un peu de la veine des deux 1ers
- L'arabe du futur T5 : toujours pareil, très bien avec en plus peut être une introspection personnelle de l'auteur sur ses années d'adolescence. Le pére, quasi absent de ce tome laisse la place aux aventures du fils. On sent bien la d'où Riad Sattouf a trouvé l'inspiration pour son film "Les Beaux gosses".
- La Bête : Là je dois avouer avoir été bousculé. D'abord l'objet livre est superbe dans cette version, assez rare dans la BD. C'est du haut de gamme, format inhabituel, couverture carton relief, superbe papier. Un bel objet. Les dessins sont vraiment sympas. La 1ere scène fort réussie et qui donne un ton qui in fine n'est pas celui du bouquin. Vrai plus - qui m'a fait pensé à Magasin Général - c'est truffé de mots et d'expressions en Gelbe, ou plus précisément en Bruxellois (les natifs me corrigeront si besoin). Comme dans la série de Loiselle et Trip en lisant j'avais l'impression d'entendre l'accent de nos amis. J'ai donc adoré l'ambiance et les savoureuses trognes de certains personnage, comme les routiers ou le directeur de l'école.
L'histoire m'a plus dérouté, non que le scénario soit mal fichu, bien au contraire, mais le traitement est très "enfantin" ce qui finalement est cohérent puisque l'on est dans un préquel de Spirou. N'étant pas un connaisseur de cette BD (version Franquin bien sur) j'imagine que c'est l'esprit bon enfant et gentiment manichéen de l'univers des Spirou qui est reproduit. Il y a un coté "petit nicolas" - sauf que là il s'appel François ou Frantz mais je n'en dirais pas plus, -mâtiné avec une aventure de Tintin. Bref c'est du trés bon Franco Belge porté par un dessin moderne. J’attends l'opus suivant avec impatience (on me souffle dans l'oreillette que les 3 tomes seraient sortis en même temps).
En fait concernant le scénario, on a une histoire très consensuelle qui pourrait faire un bon Disney (pour situer le public cible). Donc c'est une histoire qui joue sur les sentiments. C'est porté par un dessin parfaitement maitrisé qui en ajoute un couche côté émotion.
Le contraste vient du contexte. Bruxelles de l'après guère dans le quartier populaire des Maroles. Soit une période assez sombre de la reconstruction du pays. C'est parfois bizarre, mais ça passe bien grâce au talent de Frank Pe.
Si je devais faire un bémol par rapport à cet ensemble motivant, c'est par rapport à certains dialogues. Je les ai trouvé parfois un peu lourds et trop littéraires par rapport au contexte. Même si on retrouve quelques expressions savoureuses.
Tu n'en parles pas, mais le livre est complètement truffé de références et d'hommages à l'âge d'or de la BD franco-belge. On y retrouve des références à de nombreuses personnalités gravitant dans l'univers du magazine Spirou. A commencer par l'instituteur dont tu parles qui est une caricature de Franquin.
C'est là où ma culture de l'univers de Spirou est perfectible et je suis passé totalement à coté.
Je viens de lire ce bouquin :
C'est moderne, tant dans le graphisme que l'histoire. Une chronique sociale d'une banlieue urbaine en Allemagne, où Rahim, un jeune tente de se faire une place dans la société de la petite criminalité. C'est un brave garçon, pas méchant au fond mais qui veut tenter sa chance pour se faire "une réputation" et qu'il n'a pas "que de la gueule", tout en évinçant son rival qui ne va pas apprécier qu'on ternisse la sienne.
C'est bien mené et l'histoire évite les poncifs, elle démonte les relations et la vie dans les banlieues, entre gangs et petits trafics, réputation et amitiés.
A voir ce graphisme, ça me fait songer à Trondheim qui a résolu ses carences en dessin en usant de codes graphiques simplistes qui permettent de dessiner avec les pieds.
Note, Trondheim à force d'à force à fini par savoir dessiner. Donc c'est surement une méthode à suivre
Bonjour,
je me suis aussi acheté l'Arabe du Futur 5 (mais pas encore lu 
) et Visa Transit (tome 2).
Si vous ne connaissais pas, je vous recommande chaudement.
Les 2 albums de Visa Transit racontent l'épopée de 2 cousins dans une Citroën Visa qui tient tout juste sur ses roues. Les 2 compères vont lui en faire voir de toutes les couleurs en parcourant de nombreux pays orientaux ! Ce voyage s'apparente pour moi à une sorte de conte où il est question de découverte, de réflexion, de philosophie, de souvenirs. Très beau.
Le lien vers l'éditeur du Tome 2.
Pour le Lyonnais BDphiles
Pour les ceucelles qui l'auraient lu, j'ai une mauvaise nouvelle.
même si le bordel a été international
Le projet de mine d'or dénoncé dans la BD est en train de reprendre forme.
Ca va chier pour le collectif "ni yeux ni maître"...
Plus qu'à prendre sa carte d'adhésion...
A l'aune de toutes les crasses détaillées dans la BD et d'une sauvegarde de la biodiversité soit disant prise en compte aujourd'hui , ça en dit long sur les paroles et les actes...
Tant qu'on aura pas la g... dans le mur on continuera...
Je pense que c'est plié, et à court terme. Le permafrost est en train de fondre, le système est devenu instable, ça sent l'emballement .... et on continue.
Du coup, t’as raison : autant en profiter ! Après nous, la fin du monde ! Je commande mon camping-car mazout de ce pas et on fait la route des whiskies et des brasseries en Irlande 
🥸
Plus sérieusement, ça vaut quand même le coup de faire des efforts aux différents niveaux où l’on intervient. Non ? 
En fumant des cigarettes aussi... niveau empreinte carbone pour rien, coût sanitaire démesuré, appauvrissement des plus pauvres et enrichissement des plus riches, je sais pas si on peut faire plus caricatural question connerie... 
Allez, va pour les cigarettes ! Ça me rappelle les cigarettes en chocolat quand j’étais petiot 
J'ai malheureusement l'impression que ce sera loin de suffire. Les reportages sur Arte sur ces sujets sont édifiants.
"Les pays industrialisés se divisent en deux groupes : ceux qui font de beaux discours en disant qu'il faut agir, mais qui ne font rien et ceux qui ne font pas de discours et qui ne font rien".