je fais depuis très récemment du vtt. C’était pas vraiment prévu en fait. J’ai acheté un vtt (assez merdique) juste pour avoir un vélo au cas où et pour me balader de temps en temps avec la petite famille.
Mais en fait, j’ai carrément pris goût au vtt dans les bois, avec l’envie d’envoyer (à mon humble niveau de débutant). Vous allez voir à mon premier sujet que j’ai déjà un léger souci à traiter avant d’avoir de vrais soucis de sécu (pb de fourche a priori). Mon vélo doit tenir jusqu’à Noël
j’en suis persuadé. Mais les vélos fragiles, c’est également formateur!! Surtout quand on démarre d’une ignorance totale. En moins d’un mois, j’ai déjà eu à apprendre à régler mes freins à disques, régler dérailleur avant et arrière, entretien de la fourche, démontage du jdd.
A venir :
étude du grincement du cintre (sur tes conseils Carbone : méthode du WD40 )
changement du dérailleur arrière (il a pété aujourd’hui, c’est de la merde mais c’est quand même ma faute suite à erreur de wheeling sur terrain bmx)
Je m’attendais pas aussi à prendre goût à bricoler mon vélo. Je trouve ça marrant d’être aux petits soins et autonome (merci VTTnet et le net en général !!).
A partir d’un moment, si tu roules sérieusement, enfin si tu roules vraiment, vaut mieux un bon vélo d’occase même un peu démodé qu’une bouse neuve, c’est moins d’emmerdes.
oui. Je n’en suis que trop conscient maintenant entre ce que je vis avec ce vélo et ce que je lis partout sur le net.
Malheureusement, la chronologie fait qu’au départ, je m’en foutais royal et j’ai pas réfléchi beaucoup pour choper le premier vélo neuf venu pour quelques dizaines d’euros seulement (mais il en vaut réellement 300). Je me donne environ un an avant de changer de vélo. Primo : tester ma motivation avant de faire hurler le porte-monnaie; Deuxio : attendre le bon moment pour acheter du bon matos (j’ai cru comprendre qu’il fallait attendre juillet ou aout pour les fins de séries : bon ou pas bon ?).
Je suis pas vraiment déçu de mon achat, car de toute façon, il faut avoir un vélo un peu déglingue qu’on a pas peur de se faire voler (vélo de voyage, l’attacher en ville, etc…). Il a sa place chez moi en attendant le “vrai”.
