Article de la mbf au sujet des chemin ruraux. En très peu de temps ce sont prèsque 25 % de nos chemins qui ont disparus.
Notre terrain de jeu reste toujours sur la sellette, en dehors des régions vraiment touristique qui ont des structure d’entretien liés au développement touristique, il n’existe pas de structures d’entretien de nos sentier. Il est important de se mobilier pour maintenir en état et continuer de défendre nos chemins
C'est un peu notre travail à tous. Avec Fab' lob on est très actif, création de nouveaux passages, modification , entretien et réhabilitation de passages existantsur, action clandestinne à la tronçonneuse etc deun trois sorties par an, c'est sympa.
Tout a fait d’accord avec vous
Vers chez moi les coupeurs de bois et les agriculteurs ont cassé pas mal de chemins
Par contre coté comportement certains vttistes devraient revoir leur lieux de chape
Dans mon coin ça commence a gueuler a cause de sauts aménagé sur des sentiers de randonnée pédestres
[quote=“eric 38”] Dans mon coin ça commence a gueuler a cause de sauts aménagé sur des sentiers de randonnée pédestres
ça va finir avec des interdictions aux vélos
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C’est pour cela qu’il est intéressant de s’attarder sur le travail d’MBF et d’autres associations qui font ce travail de concert avec les autorités, en respect des lois et des autres usagers.
Le mieux c’est d’ouvrir des sentiers specifiques pour ne pas avoir de problemes avec les pietons. Un bon sentier fait pour les VTT ne donne pas envie aux pietons d’aller dessus car pas mal de passages techniques deviennent galere a passer a pieds.
Chacun sur ces chemins et moins de problemes de cohabitation du coup.
je suis pas d’accord.
Piétons et VTTistes peuvent très bien cohabiter à condition d’éviter de rouler comme un malpropre et de respecter les autres usagers.
Si on décide de renoncer à la cohabitation, le VTT va se restreindre à quelques sous-bois aménagés par des “riders” locaux sur des dénivelés courts ou alors sous les pylônes des stations de ski. Un peu comme les parcours de motocross coincés entre l’autoroute et la voie de chemin de fer.
Finies les belles balades en montagne, les grands espaces, les sentiers “sauvages” qu’il faut apprivoiser.
C’est ça aussi le VTT, de prendre le sentier comme il est et de le respecter. C’est pas la même philosophie de donner des coups de pioche pour que le sentier corresponde à ce qu’on veut en faire.
Tout dépend où tu habites. Il est des coins où tu n’ouvres pas des sentiers n’importe où sans risquer d’avoir de vrais ennuis. La nature n’est pas juste un terrain de jeux
Tout dépend où tu habites. Il est des coins où tu n’ouvres pas des sentiers n’importe où sans risquer d’avoir de vrais ennuis. La nature n’est pas juste un terrain de jeux
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Du moment que ça reste du bois communal ça passe …
Mais gare au frontière a 50 m tu peut tombé sur un bois privé et la ( gros problème )
Pour chaper il faut soit très bien connaitre son coin soit consulter le cadastre
Le mieux pour les parcelles communal c’est de demander l’autorisation a la mairie
[quote=“eric 38”]Pour chaper il faut soit très bien connaitre son coin soit consulter le cadastre
Le mieux pour les parcelles communal c’est de demander l’autorisation a la mairie
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Quoi qu’il en soit on est censé le faire en accord avec la commune, et si on veut qu’un sentier perdure, le faire inscrire au PDIPR.
Marrant nous c’est plutot l’inverse. On choisi un point de depart, un point d’arrivé et en general on espere tomber que dans des parcelles privées. Bon c’est pas dur vu que 80% des bois sont privés.
Mais vu que personne ne connait les limites de ses parcelles, que y en a plein (des parcelles) dans les bois et que le tout est impenetrable, bah y a personne pour venir te faire chier.
Dans une parcelle publique, y a toujours l’ONF qui peux venir fourrer son nez (quoi que c’est jamais arrivé dans le secteur non plus). Dans le privé, bah t’es peinard.
Surtout que si tu as de bonne relations avec les chasseurs, ca leur fait un nouveau sentier pour silloner la foret et du coup, ils sont contents. Apres 6 mois, le chemin est tracé tout est acté et le sentier risque plus rien pour des dizaines et des dizaines d’années (enfin le seul risque c’est qu’il ne soit plus emprunté et qu’il disparaisse dans la vegetation).