Je sais que la potence ne doit être ni trop longue ni trop courte 
mais je me demandais comment on doit faire pour trouver la “bonne” longueur de potence sur un spad ? Comment sait-on s’il peut (s’il on doit ?..) rajouter ou retirer 10mm? 20mm ?
Hein ?
Fab’
PS : la période de l’été est propice aux questions de fond 
Tu achètes la plus longue et tu joues de la scie et du scoth pour trouver la bonne longueur !! 
Trop tard suis déjà sorti … 
Perso, je pars d’une géométrie que je connais et qui me va et je teste différentes longueurs, si tu cherches autour de toi, tu vas peut-être trouver des potes qui ont de vieilles potences de différentes longueurs pour tester. J’ai bien un modèle réglable mais je l’ai prêté et pas récupéré, si ça t’intéresse ?
Tu pars du pédalier : en fonction de tes jambes, de l’angle du TDS, ça fixe le recul de selle nécessaire.
De là, il te faut une distance donnée selle/cintre pour être bien (si tu ne la connais pas tu tatonnes) : hop pour un spad donné, tu obtiens la longueur de potence qu’il te faudrait pour être bien positionné sur le vélo. Ensuite tu regardes l’angle de direction et tu vois si c’est en accord : par exemple avec un angle à 67°, il ne faut pas que tu te retrouves avec une potence de 100 mm, sinon ça va être un camion ton vélo.
Pourquoi cette question ? tu hésites entre un XL ou un L ?
Bah non, j’hésite pas. Je suis en 90mm de potence/720 de cintre. Je me demande si je peux passer à 70mm de potence ou 80mm ? Question Ala-Khon, je sais mais faut bien m’occuper au boulot comme j’ai repris…
Fab’
Sans changer de cadre ? Oui si tu te trouves trop allongé.
la bonne longueur de potence, une fois que la selle est bien réglée (hauteur, avance, inclinaison), c’est quand tes bras ne sont pas tendus (pas possible de tourner, d’amortir, de bouger sur le vélo) ni trop repliés. Tout en ayant le dos courbé comme il faut par rapport au sol (couché sur le vélo en route / XC, plus redressé en rando, enduro,…) sans être trop assis : tout le poids du corps est sur les vertèbres, ça fait mal au dos alors qu’on croit être comme dans son canapé