la 1ère partie de la vidéo, ça donne envie mais ça doit être les liaisons
la 2ème partie, c’est le vif des spéciales. J’estime ne pas avoir le niveau pour les rouler et y prendre plaisir, même par temps sec…
ils rendent pas trop en vidéo. en vrai, ya beaucoup de pente, c’est engagé, dangereux par endroit. c’est la seule course du championnat suisse où le parcours est dévoilé à l’avance pour que les gens puissent reconnaître et pas se tuer le jour J
Là où je prends le plus mon pieds c’est dans ces passages technique et casse burne !
Et à l’inverse plus c’est des virages relevés des doubles des machins comme ça ohlahh je suis mauvais de chez mauvais. Me faut des cailloux des racines et banzai
Bon là il pleut, alors je vais raconter ma sortie de mercedi.
Depuis la sortie faite avec Fab, j’avais pas trop la forme, tendance à avoir plutôt envie de dormir sur le bord du chemin que de me concentrer sur le sentier.
La forme ne revenenait pas, je commenençais à avoir marre de me trainer comme une loque, alors mercredi, je décide de prendre le VTT avec moi, je monte dans le train avec, je fais 1/2 journée de taf et je pars rouler sur le coup de midi, dans le bois le plus proche du boulot.
Je me sens déjà fatigué, courbaturé au moment de partir, ça promet ! Bon on verra bien, je traverse la ville en 5 minutes et j’attaque doucement le gros raidard de la route des Vouillands. Une pente à plus de 10%, mais bon avec un 22x36 ça doit passer tranquille. Je suis essouflé d’entrée de jeu, je sens mon coeur qui tappe fort. Bon on va ralentir… je dois être à 4km/h, je peux pas rouler plus doucement. Je pense à Carbone avant son opération.
Sur la suite, ça va mieux, je ne m’en rend pas compte sur le coup, mais j’arrive à passer un passage en montée qu’il m’arrive de passer à pied lorsque c’est glissant, ce qui n’est pas le cas, la température est idéale 25°C soleil, pas de vent…
Malgré tout, j’ai pas trop le moral sur la fin de la montée, à cause de cette méforme, je profitte pas trop de la quiétude du désert Jean Jacques Rousseau, petite gorge remplie de hêtres, qui fait oublier la ville pourant si proche.
Et puis j’arrive en haut pour manger mon sandwich.
Sur le coup, je pensais “bacher”, faire une descente moins technique qe d’habitude, car j’avais peur de manquer de lucidité.
Et puis… non mais en fait, je suis bien là ! Non mais je vais faire la descente habituelle, celle où j’ai le 5ème et le 4ème temps sur des segments de cette descente.
Allez go !
Je fais une descente prudente, mais j’ai des bonnes sensations, pas trop à la ramasse (sauf pour les segments où je fais des pr à l’envers) , mais l’essentiel est d’arriver en bas le sourrire aux lèvres et d’avoir eu la pêche le reste de la journée.
Je suis parti à l’“agonie” et revenu avec la patate.
Bon je crois que j’ai dépassé le nombre de caractères autorisés.